LES 5 DEMONS DE KIMON
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| un conte de démons | |
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+3teclis Gaius Scipion duncane 7 participants | |
Auteur | Message |
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Gaius Scipion Chef de l'Alliance
Nombre de messages : 2774 Date d'inscription : 09/05/2006
| Sujet: Re: un conte de démons Mer 10 Mai - 16:54 | |
| Il y'a bien longtemps se trouvait être une bande de joyeux lurons, quelques uns armées jusqu'aux dents, quelques autres capables de prouesses par la force, quelques autres poètes immérites, dont les créations se trouvaient même à la cour de l'empereur. Alors ce groupe d'ahuris décida de partir à l'aventure, et se mit en route en chantant "A l'aventure compagnons ...", malheureusement leurs petit chansonette énerva un orc passant par là, le combat fut rude, pour détérminer qui aller botter les fesses de ce trublion, bien entendu Duncane s'engagea aussitôt il lui botta les fesse à coup de bottes en fer qu'il avait fort commodément chaussées avant de partir. L'orc tout cabossé, prenant son courage à demain s'enfuit à tire d'aile, Duncane fut félicité par tout le groupe et celui ci déclara: "eh beng, ma fôa, je ne regrette pôa d'avoir acheté cette paire de bottes magiques avec les deniers du sieur Teclis", puis se retournant vers Tecliss, déclara : "Pas trop déçu d'avoir perdu cet argent dans notre pari ?" Et celui ci répondit : "Ne t'inquiète pas, regarde ta bourse". Et il la regarda et fut agréablement surpris de la découvrir pleine d'or. Il fut intrigué, il regarda de plus près, tata les pièces et constata que c'était de la toque. Il s'écria "ronondidju, espèce de #@#°°! qu'as-tu fait de mes pièces vile cochon" en sortant son canif, il lui répondit: "trop d'alcool te rend pauvre ?" et s'en alla pour éviter le coup de canif. Duncane qui avait sorti son canif pour éplucher une pomme se mit tranquilement à grignoter.Teclis magnanime lui rendit une partie de son or ( vrai celui là), que Duncane repris dignement et rangea dans sa bourse, non sans se servir discretement au passage dans la bourse de Teclis.Bien entendu Duncane remit son or dans sa bourse, persée, et alla finir de grinoter sa pomme avec des Clik clik derière son passage;une mite géante avait bouffé un carré de tissu de la bourse, bien entendu teclis ne put se résourdre à laisser ce bel or par terre et le rammassa, soudain un bruit immonde vint à leurs oreilles:
sieur Balrix avait laché un pet monstrueux, remplissant la forêt d'une odeur abominablement nauséabonde
Dernière édition par le Mer 10 Mai - 17:05, édité 1 fois | |
| | | duncane (alyscia)
Nombre de messages : 873 Age : 42 Localisation : Province du Nord Ouest Date d'inscription : 09/05/2006
| Sujet: Re: un conte de démons Mer 10 Mai - 17:05 | |
| Il y'a bien longtemps se trouvait être une bande de joyeux lurons, quelques uns armées jusqu'aux dents, quelques autres capables de prouesses par la force, quelques autres poètes immérites, dont les créations se trouvaient même à la cour de l'empereur. Alors ce groupe d'ahuris décida de partir à l'aventure, et se mit en route en chantant "A l'aventure compagnons ...", malheureusement leurs petit chansonette énerva un orc passant par là, le combat fut rude, pour détérminer qui aller botter les fesses de ce trublion, bien entendu Duncane s'engagea aussitôt il lui botta les fesse à coup de bottes en fer qu'il avait fort commodément chaussées avant de partir. L'orc tout cabossé, prenant son courage à demain s'enfuit à tire d'aile, Duncane fut félicité par tout le groupe et celui ci déclara: "eh beng, ma fôa, je ne regrette pôa d'avoir acheté cette paire de bottes magiques avec les deniers du sieur Teclis", puis se retournant vers Tecliss, déclara : "Pas trop déçu d'avoir perdu cet argent dans notre pari ?" Et celui ci répondit : "Ne t'inquiète pas, regarde ta bourse". Et il la regarda et fut agréablement surpris de la découvrir pleine d'or. Il fut intrigué, il regarda de plus près, tata les pièces et constata que c'était de la toque. Il s'écria "ronondidju, espèce de #@#°°! qu'as-tu fait de mes pièces vile cochon" en sortant son canif, il lui répondit: "trop d'alcool te rend pauvre ?" et s'en alla pour éviter le coup de canif. Duncane qui avait sorti son canif pour éplucher une pomme se mit tranquilement à grignoter.Teclis magnanime lui rendit une partie de son or ( vrai celui là), que Duncane repris dignement et rangea dans sa bourse, non sans se servir discretement au passage dans la bourse de Teclis.Bien entendu Duncane remit son or dans sa bourse, persée, et alla finir de grinoter sa pomme avec des Clik clik derière son passage;une mite géante avait bouffé un carré de tissu de la bourse, bien entendu teclis ne put se résourdre à laisser ce bel or par terre et le rammassa, soudain un bruit immonde vint à leurs oreilles:
sieur Balrix avait laché un pet monstrueux, remplissant la forêt d'une odeur abominablement nauséabonde, un nuage verdatre flottait derrière lui ... | |
| | | teclis Général Germain
Nombre de messages : 220 Date d'inscription : 09/05/2006
| Sujet: Re: un conte de démons Mer 10 Mai - 17:21 | |
| Il y'a bien longtemps se trouvait être une bande de joyeux lurons, quelques uns armées jusqu'aux dents, quelques autres capables de prouesses par la force, quelques autres poètes immérites, dont les créations se trouvaient même à la cour de l'empereur. Alors ce groupe d'ahuris décida de partir à l'aventure, et se mit en route en chantant "A l'aventure compagnons ...", malheureusement leurs petit chansonette énerva un orc passant par là, le combat fut rude, pour détérminer qui aller botter les fesses de ce trublion, bien entendu Duncane s'engagea aussitôt il lui botta les fesse à coup de bottes en fer qu'il avait fort commodément chaussées avant de partir. L'orc tout cabossé, prenant son courage à demain s'enfuit à tire d'aile, Duncane fut félicité par tout le groupe et celui ci déclara: "eh beng, ma fôa, je ne regrette pôa d'avoir acheté cette paire de bottes magiques avec les deniers du sieur Teclis", puis se retournant vers Tecliss, déclara : "Pas trop déçu d'avoir perdu cet argent dans notre pari ?" Et celui ci répondit : "Ne t'inquiète pas, regarde ta bourse". Et il la regarda et fut agréablement surpris de la découvrir pleine d'or. Il fut intrigué, il regarda de plus près, tata les pièces et constata que c'était de la toque. Il s'écria "ronondidju, espèce de #@#°°! qu'as-tu fait de mes pièces vile cochon" en sortant son canif, il lui répondit: "trop d'alcool te rend pauvre ?" et s'en alla pour éviter le coup de canif. Duncane qui avait sorti son canif pour éplucher une pomme se mit tranquilement à grignoter.Teclis magnanime lui rendit une partie de son or ( vrai celui là), que Duncane repris dignement et rangea dans sa bourse, non sans se servir discretement au passage dans la bourse de Teclis.Bien entendu Duncane remit son or dans sa bourse, persée, et alla finir de grinoter sa pomme avec des Clik clik derière son passage;une mite géante avait bouffé un carré de tissu de la bourse, bien entendu teclis ne put se résourdre à laisser ce bel or par terre et le rammassa, soudain un bruit immonde vint à leurs oreilles:
sieur Balrix avait laché un pet monstrueux, remplissant la forêt d'une odeur abominablement nauséabonde, un nuage verdatre flottait derrière lui , pauvres oiseaux, pensa le groupe, ils tombent comme des mouches. | |
| | | Gaius Scipion Chef de l'Alliance
Nombre de messages : 2774 Date d'inscription : 09/05/2006
| Sujet: Re: un conte de démons Mer 10 Mai - 17:22 | |
| Il y'a bien longtemps se trouvait être une bande de joyeux lurons, quelques uns armées jusqu'aux dents, quelques autres capables de prouesses par la force, quelques autres poètes immérites, dont les créations se trouvaient même à la cour de l'empereur. Alors ce groupe d'ahuris décida de partir à l'aventure, et se mit en route en chantant "A l'aventure compagnons ...", malheureusement leurs petit chansonette énerva un orc passant par là, le combat fut rude, pour détérminer qui aller botter les fesses de ce trublion, bien entendu Duncane s'engagea aussitôt il lui botta les fesse à coup de bottes en fer qu'il avait fort commodément chaussées avant de partir. L'orc tout cabossé, prenant son courage à demain s'enfuit à tire d'aile, Duncane fut félicité par tout le groupe et celui ci déclara: "eh beng, ma fôa, je ne regrette pôa d'avoir acheté cette paire de bottes magiques avec les deniers du sieur Teclis", puis se retournant vers Tecliss, déclara : "Pas trop déçu d'avoir perdu cet argent dans notre pari ?" Et celui ci répondit : "Ne t'inquiète pas, regarde ta bourse". Et il la regarda et fut agréablement surpris de la découvrir pleine d'or. Il fut intrigué, il regarda de plus près, tata les pièces et constata que c'était de la toque. Il s'écria "ronondidju, espèce de #@#°°! qu'as-tu fait de mes pièces vile cochon" en sortant son canif, il lui répondit: "trop d'alcool te rend pauvre ?" et s'en alla pour éviter le coup de canif. Duncane qui avait sorti son canif pour éplucher une pomme se mit tranquilement à grignoter.Teclis magnanime lui rendit une partie de son or ( vrai celui là), que Duncane repris dignement et rangea dans sa bourse, non sans se servir discretement au passage dans la bourse de Teclis.Bien entendu Duncane remit son or dans sa bourse, persée, et alla finir de grinoter sa pomme avec des Clik clik derière son passage;une mite géante avait bouffé un carré de tissu de la bourse, bien entendu teclis ne put se résourdre à laisser ce bel or par terre et le rammassa, soudain un bruit immonde vint à leurs oreilles:
sieur Balrix avait laché un pet monstrueux, remplissant la forêt d'une odeur abominablement nauséabonde, un nuage verdatre flottait derrière lui, pauvres oiseaux, pensa le groupe, ils tombent comme des mouches. Sieur Duncane se retourna horrifié, la mite géante affectueusement accrochée à ses bourses et vrombissant de bonheur | |
| | | teclis Général Germain
Nombre de messages : 220 Date d'inscription : 09/05/2006
| Sujet: Re: un conte de démons Mer 10 Mai - 17:26 | |
| Il y'a bien longtemps se trouvait être une bande de joyeux lurons, quelques uns armées jusqu'aux dents, quelques autres capables de prouesses par la force, quelques autres poètes immérites, dont les créations se trouvaient même à la cour de l'empereur. Alors ce groupe d'ahuris décida de partir à l'aventure, et se mit en route en chantant "A l'aventure compagnons ...", malheureusement leurs petit chansonette énerva un orc passant par là, le combat fut rude, pour détérminer qui aller botter les fesses de ce trublion, bien entendu Duncane s'engagea aussitôt il lui botta les fesse à coup de bottes en fer qu'il avait fort commodément chaussées avant de partir. L'orc tout cabossé, prenant son courage à demain s'enfuit à tire d'aile, Duncane fut félicité par tout le groupe et celui ci déclara: "eh beng, ma fôa, je ne regrette pôa d'avoir acheté cette paire de bottes magiques avec les deniers du sieur Teclis", puis se retournant vers Tecliss, déclara : "Pas trop déçu d'avoir perdu cet argent dans notre pari ?" Et celui ci répondit : "Ne t'inquiète pas, regarde ta bourse". Et il la regarda et fut agréablement surpris de la découvrir pleine d'or. Il fut intrigué, il regarda de plus près, tata les pièces et constata que c'était de la toque. Il s'écria "ronondidju, espèce de #@#°°! qu'as-tu fait de mes pièces vile cochon" en sortant son canif, il lui répondit: "trop d'alcool te rend pauvre ?" et s'en alla pour éviter le coup de canif. Duncane qui avait sorti son canif pour éplucher une pomme se mit tranquilement à grignoter.Teclis magnanime lui rendit une partie de son or ( vrai celui là), que Duncane repris dignement et rangea dans sa bourse, non sans se servir discretement au passage dans la bourse de Teclis.Bien entendu Duncane remit son or dans sa bourse, persée, et alla finir de grinoter sa pomme avec des Clik clik derière son passage;une mite géante avait bouffé un carré de tissu de la bourse, bien entendu teclis ne put se résourdre à laisser ce bel or par terre et le rammassa, soudain un bruit immonde vint à leurs oreilles:
sieur Balrix avait laché un pet monstrueux, remplissant la forêt d'une odeur abominablement nauséabonde, un nuage verdatre flottait derrière lui, pauvres oiseaux, pensa le groupe, ils tombent comme des mouches. Sieur Duncane se retourna horrifié, la mite géante affectueusement accrochée à ses bourses et vrombissant de bonheur. Gaius l'entendant, la transpersa avec son glaive. | |
| | | duncane (alyscia)
Nombre de messages : 873 Age : 42 Localisation : Province du Nord Ouest Date d'inscription : 09/05/2006
| Sujet: Re: un conte de démons Mer 10 Mai - 17:39 | |
| Il y'a bien longtemps se trouvait être une bande de joyeux lurons, quelques uns armées jusqu'aux dents, quelques autres capables de prouesses par la force, quelques autres poètes immérites, dont les créations se trouvaient même à la cour de l'empereur. Alors ce groupe d'ahuris décida de partir à l'aventure, et se mit en route en chantant "A l'aventure compagnons ...", malheureusement leurs petit chansonette énerva un orc passant par là, le combat fut rude, pour détérminer qui aller botter les fesses de ce trublion, bien entendu Duncane s'engagea aussitôt il lui botta les fesse à coup de bottes en fer qu'il avait fort commodément chaussées avant de partir. L'orc tout cabossé, prenant son courage à demain s'enfuit à tire d'aile, Duncane fut félicité par tout le groupe et celui ci déclara: "eh beng, ma fôa, je ne regrette pôa d'avoir acheté cette paire de bottes magiques avec les deniers du sieur Teclis", puis se retournant vers Tecliss, déclara : "Pas trop déçu d'avoir perdu cet argent dans notre pari ?" Et celui ci répondit : "Ne t'inquiète pas, regarde ta bourse". Et il la regarda et fut agréablement surpris de la découvrir pleine d'or. Il fut intrigué, il regarda de plus près, tata les pièces et constata que c'était de la toque. Il s'écria "ronondidju, espèce de #@#°°! qu'as-tu fait de mes pièces vile cochon" en sortant son canif, il lui répondit: "trop d'alcool te rend pauvre ?" et s'en alla pour éviter le coup de canif. Duncane qui avait sorti son canif pour éplucher une pomme se mit tranquilement à grignoter.Teclis magnanime lui rendit une partie de son or ( vrai celui là), que Duncane repris dignement et rangea dans sa bourse, non sans se servir discretement au passage dans la bourse de Teclis.Bien entendu Duncane remit son or dans sa bourse, persée, et alla finir de grinoter sa pomme avec des Clik clik derière son passage;une mite géante avait bouffé un carré de tissu de la bourse, bien entendu teclis ne put se résourdre à laisser ce bel or par terre et le rammassa, soudain un bruit immonde vint à leurs oreilles:
sieur Balrix avait laché un pet monstrueux, remplissant la forêt d'une odeur abominablement nauséabonde, un nuage verdatre flottait derrière lui, pauvres oiseaux, pensa le groupe, ils tombent comme des mouches. Sieur Duncane se retourna horrifié, la mite géante affectueusement accrochée à ses bourses et vrombissant de bonheur. Gaius l'entendant, la transpersa avec son glaive. Duncane se retourna et vis le glaive passer, vi sa bourse de cuir et s'étonna : "une bonne peau d'orc comme ça ..."
Dernière édition par le Mer 10 Mai - 17:49, édité 1 fois | |
| | | Gaius Scipion Chef de l'Alliance
Nombre de messages : 2774 Date d'inscription : 09/05/2006
| Sujet: Re: un conte de démons Mer 10 Mai - 17:44 | |
| Il y'a bien longtemps se trouvait être une bande de joyeux lurons, quelques uns armées jusqu'aux dents, quelques autres capables de prouesses par la force, quelques autres poètes immérites, dont les créations se trouvaient même à la cour de l'empereur. Alors ce groupe d'ahuris décida de partir à l'aventure, et se mit en route en chantant "A l'aventure compagnons ...", malheureusement leurs petit chansonette énerva un orc passant par là, le combat fut rude, pour détérminer qui aller botter les fesses de ce trublion, bien entendu Duncane s'engagea aussitôt il lui botta les fesse à coup de bottes en fer qu'il avait fort commodément chaussées avant de partir. L'orc tout cabossé, prenant son courage à demain s'enfuit à tire d'aile, Duncane fut félicité par tout le groupe et celui ci déclara: "eh beng, ma fôa, je ne regrette pôa d'avoir acheté cette paire de bottes magiques avec les deniers du sieur Teclis", puis se retournant vers Tecliss, déclara : "Pas trop déçu d'avoir perdu cet argent dans notre pari ?" Et celui ci répondit : "Ne t'inquiète pas, regarde ta bourse". Et il la regarda et fut agréablement surpris de la découvrir pleine d'or. Il fut intrigué, il regarda de plus près, tata les pièces et constata que c'était de la toque. Il s'écria "ronondidju, espèce de #@#°°! qu'as-tu fait de mes pièces vile cochon" en sortant son canif, il lui répondit: "trop d'alcool te rend pauvre ?" et s'en alla pour éviter le coup de canif. Duncane qui avait sorti son canif pour éplucher une pomme se mit tranquilement à grignoter.Teclis magnanime lui rendit une partie de son or ( vrai celui là), que Duncane repris dignement et rangea dans sa bourse, non sans se servir discretement au passage dans la bourse de Teclis.Bien entendu Duncane remit son or dans sa bourse, persée, et alla finir de grinoter sa pomme avec des Clik clik derière son passage;une mite géante avait bouffé un carré de tissu de la bourse, bien entendu teclis ne put se résourdre à laisser ce bel or par terre et le rammassa, soudain un bruit immonde vint à leurs oreilles:
sieur Balrix avait laché un pet monstrueux, remplissant la forêt d'une odeur abominablement nauséabonde, un nuage verdatre flottait derrière lui, pauvres oiseaux, pensa le groupe, ils tombent comme des mouches. Sieur Duncane se retourna horrifié, la mite géante affectueusement accrochée à ses bourses et vrombissant de bonheur. Gaius l'entendant, la transpersa avec son glaive. Duncane se retourna et vis le glaive passer, vi sa bourse de cuir et s'étonna : "une bonne peau d'orc comme ça ..."
Gaius se resaisit, nettoya sa lame et, d'un air stoic déclara .. " ces bois sont remplis de sales bestiolles" | |
| | | duncane (alyscia)
Nombre de messages : 873 Age : 42 Localisation : Province du Nord Ouest Date d'inscription : 09/05/2006
| Sujet: Re: un conte de démons Mer 10 Mai - 17:53 | |
| Il y'a bien longtemps se trouvait être une bande de joyeux lurons, quelques uns armées jusqu'aux dents, quelques autres capables de prouesses par la force, quelques autres poètes immérites, dont les créations se trouvaient même à la cour de l'empereur. Alors ce groupe d'ahuris décida de partir à l'aventure, et se mit en route en chantant "A l'aventure compagnons ...", malheureusement leurs petit chansonette énerva un orc passant par là, le combat fut rude, pour détérminer qui aller botter les fesses de ce trublion, bien entendu Duncane s'engagea aussitôt il lui botta les fesse à coup de bottes en fer qu'il avait fort commodément chaussées avant de partir. L'orc tout cabossé, prenant son courage à demain s'enfuit à tire d'aile, Duncane fut félicité par tout le groupe et celui ci déclara: "eh beng, ma fôa, je ne regrette pôa d'avoir acheté cette paire de bottes magiques avec les deniers du sieur Teclis", puis se retournant vers Tecliss, déclara : "Pas trop déçu d'avoir perdu cet argent dans notre pari ?" Et celui ci répondit : "Ne t'inquiète pas, regarde ta bourse". Et il la regarda et fut agréablement surpris de la découvrir pleine d'or. Il fut intrigué, il regarda de plus près, tata les pièces et constata que c'était de la toque. Il s'écria "ronondidju, espèce de #@#°°! qu'as-tu fait de mes pièces vile cochon" en sortant son canif, il lui répondit: "trop d'alcool te rend pauvre ?" et s'en alla pour éviter le coup de canif. Duncane qui avait sorti son canif pour éplucher une pomme se mit tranquilement à grignoter.Teclis magnanime lui rendit une partie de son or ( vrai celui là), que Duncane repris dignement et rangea dans sa bourse, non sans se servir discretement au passage dans la bourse de Teclis.Bien entendu Duncane remit son or dans sa bourse, persée, et alla finir de grinoter sa pomme avec des Clik clik derière son passage;une mite géante avait bouffé un carré de tissu de la bourse, bien entendu teclis ne put se résourdre à laisser ce bel or par terre et le rammassa, soudain un bruit immonde vint à leurs oreilles:
sieur Balrix avait laché un pet monstrueux, remplissant la forêt d'une odeur abominablement nauséabonde, un nuage verdatre flottait derrière lui, pauvres oiseaux, pensa le groupe, ils tombent comme des mouches. Sieur Duncane se retourna horrifié, la mite géante affectueusement accrochée à ses bourses et vrombissant de bonheur. Gaius l'entendant, la transpersa avec son glaive. Duncane se retourna et vis le glaive passer, vi sa bourse de cuir et s'étonna : "une bonne peau d'orc comme ça ..."
Gaius se resaisit, nettoya sa lame et, d'un air stoic déclara .. " ces bois sont remplis de sales bestiolles". Duncane, avisant teclis penché lui dit holà mon brave, besoin d'aide pour ramasser ces pièces ? | |
| | | teclis Général Germain
Nombre de messages : 220 Date d'inscription : 09/05/2006
| Sujet: Re: un conte de démons Mer 10 Mai - 18:00 | |
| Il y'a bien longtemps se trouvait être une bande de joyeux lurons, quelques uns armées jusqu'aux dents, quelques autres capables de prouesses par la force, quelques autres poètes immérites, dont les créations se trouvaient même à la cour de l'empereur. Alors ce groupe d'ahuris décida de partir à l'aventure, et se mit en route en chantant "A l'aventure compagnons ...", malheureusement leurs petit chansonette énerva un orc passant par là, le combat fut rude, pour détérminer qui aller botter les fesses de ce trublion, bien entendu Duncane s'engagea aussitôt il lui botta les fesse à coup de bottes en fer qu'il avait fort commodément chaussées avant de partir. L'orc tout cabossé, prenant son courage à demain s'enfuit à tire d'aile, Duncane fut félicité par tout le groupe et celui ci déclara: "eh beng, ma fôa, je ne regrette pôa d'avoir acheté cette paire de bottes magiques avec les deniers du sieur Teclis", puis se retournant vers Tecliss, déclara : "Pas trop déçu d'avoir perdu cet argent dans notre pari ?" Et celui ci répondit : "Ne t'inquiète pas, regarde ta bourse". Et il la regarda et fut agréablement surpris de la découvrir pleine d'or. Il fut intrigué, il regarda de plus près, tata les pièces et constata que c'était de la toque. Il s'écria "ronondidju, espèce de #@#°°! qu'as-tu fait de mes pièces vile cochon" en sortant son canif, il lui répondit: "trop d'alcool te rend pauvre ?" et s'en alla pour éviter le coup de canif. Duncane qui avait sorti son canif pour éplucher une pomme se mit tranquilement à grignoter.Teclis magnanime lui rendit une partie de son or ( vrai celui là), que Duncane repris dignement et rangea dans sa bourse, non sans se servir discretement au passage dans la bourse de Teclis.Bien entendu Duncane remit son or dans sa bourse, persée, et alla finir de grinoter sa pomme avec des Clik clik derière son passage;une mite géante avait bouffé un carré de tissu de la bourse, bien entendu teclis ne put se résourdre à laisser ce bel or par terre et le rammassa, soudain un bruit immonde vint à leurs oreilles:
sieur Balrix avait laché un pet monstrueux, remplissant la forêt d'une odeur abominablement nauséabonde, un nuage verdatre flottait derrière lui, pauvres oiseaux, pensa le groupe, ils tombent comme des mouches. Sieur Duncane se retourna horrifié, la mite géante affectueusement accrochée à ses bourses et vrombissant de bonheur. Gaius l'entendant, la transpersa avec son glaive. Duncane se retourna et vis le glaive passer, vi sa bourse de cuir et s'étonna : "une bonne peau d'orc comme ça ..."
Gaius se resaisit, nettoya sa lame et, d'un air stoic déclara .. " ces bois sont remplis de sales bestiolles". Duncane, avisant teclis penché lui dit holà mon brave, besoin d'aide pour ramasser ces pièces ?" et teclis du tac au tac : "Sans façon, pourquoi il y a eu un problème avec votre bourse ?". | |
| | | duncane (alyscia)
Nombre de messages : 873 Age : 42 Localisation : Province du Nord Ouest Date d'inscription : 09/05/2006
| Sujet: Re: un conte de démons Mer 10 Mai - 18:32 | |
| Il y'a bien longtemps se trouvait être une bande de joyeux lurons, quelques uns armées jusqu'aux dents, quelques autres capables de prouesses par la force, quelques autres poètes immérites, dont les créations se trouvaient même à la cour de l'empereur. Alors ce groupe d'ahuris décida de partir à l'aventure, et se mit en route en chantant "A l'aventure compagnons ...", malheureusement leurs petit chansonette énerva un orc passant par là, le combat fut rude, pour détérminer qui aller botter les fesses de ce trublion, bien entendu Duncane s'engagea aussitôt il lui botta les fesse à coup de bottes en fer qu'il avait fort commodément chaussées avant de partir. L'orc tout cabossé, prenant son courage à demain s'enfuit à tire d'aile, Duncane fut félicité par tout le groupe et celui ci déclara: "eh beng, ma fôa, je ne regrette pôa d'avoir acheté cette paire de bottes magiques avec les deniers du sieur Teclis", puis se retournant vers Tecliss, déclara : "Pas trop déçu d'avoir perdu cet argent dans notre pari ?" Et celui ci répondit : "Ne t'inquiète pas, regarde ta bourse". Et il la regarda et fut agréablement surpris de la découvrir pleine d'or. Il fut intrigué, il regarda de plus près, tata les pièces et constata que c'était de la toque. Il s'écria "ronondidju, espèce de #@#°°! qu'as-tu fait de mes pièces vile cochon" en sortant son canif, il lui répondit: "trop d'alcool te rend pauvre ?" et s'en alla pour éviter le coup de canif. Duncane qui avait sorti son canif pour éplucher une pomme se mit tranquilement à grignoter.Teclis magnanime lui rendit une partie de son or ( vrai celui là), que Duncane repris dignement et rangea dans sa bourse, non sans se servir discretement au passage dans la bourse de Teclis.Bien entendu Duncane remit son or dans sa bourse, persée, et alla finir de grinoter sa pomme avec des Clik clik derière son passage;une mite géante avait bouffé un carré de tissu de la bourse, bien entendu teclis ne put se résourdre à laisser ce bel or par terre et le rammassa, soudain un bruit immonde vint à leurs oreilles:
sieur Balrix avait laché un pet monstrueux, remplissant la forêt d'une odeur abominablement nauséabonde, un nuage verdatre flottait derrière lui, pauvres oiseaux, pensa le groupe, ils tombent comme des mouches. Sieur Duncane se retourna horrifié, la mite géante affectueusement accrochée à ses bourses et vrombissant de bonheur. Gaius l'entendant, la transpersa avec son glaive. Duncane se retourna et vis le glaive passer, vi sa bourse de cuir et s'étonna : "une bonne peau d'orc comme ça ..."
Gaius se resaisit, nettoya sa lame et, d'un air stoic déclara .. " ces bois sont remplis de sales bestiolles". Duncane, avisant teclis penché lui dit holà mon brave, besoin d'aide pour ramasser ces pièces ?" et teclis du tac au tac : "Sans façon, pourquoi il y a eu un problème avec votre bourse ?".
Duncane répondit : "Et bien il semblerait qu'elle se soit vidée par terre, près de là où vous vous trouvez". | |
| | | teclis Général Germain
Nombre de messages : 220 Date d'inscription : 09/05/2006
| Sujet: Re: un conte de démons Mer 10 Mai - 18:36 | |
| Il y'a bien longtemps se trouvait être une bande de joyeux lurons, quelques uns armées jusqu'aux dents, quelques autres capables de prouesses par la force, quelques autres poètes immérites, dont les créations se trouvaient même à la cour de l'empereur. Alors ce groupe d'ahuris décida de partir à l'aventure, et se mit en route en chantant "A l'aventure compagnons ...", malheureusement leurs petit chansonette énerva un orc passant par là, le combat fut rude, pour détérminer qui aller botter les fesses de ce trublion, bien entendu Duncane s'engagea aussitôt il lui botta les fesse à coup de bottes en fer qu'il avait fort commodément chaussées avant de partir. L'orc tout cabossé, prenant son courage à demain s'enfuit à tire d'aile, Duncane fut félicité par tout le groupe et celui ci déclara: "eh beng, ma fôa, je ne regrette pôa d'avoir acheté cette paire de bottes magiques avec les deniers du sieur Teclis", puis se retournant vers Tecliss, déclara : "Pas trop déçu d'avoir perdu cet argent dans notre pari ?" Et celui ci répondit : "Ne t'inquiète pas, regarde ta bourse". Et il la regarda et fut agréablement surpris de la découvrir pleine d'or. Il fut intrigué, il regarda de plus près, tata les pièces et constata que c'était de la toque. Il s'écria "ronondidju, espèce de #@#°°! qu'as-tu fait de mes pièces vile cochon" en sortant son canif, il lui répondit: "trop d'alcool te rend pauvre ?" et s'en alla pour éviter le coup de canif. Duncane qui avait sorti son canif pour éplucher une pomme se mit tranquilement à grignoter.Teclis magnanime lui rendit une partie de son or ( vrai celui là), que Duncane repris dignement et rangea dans sa bourse, non sans se servir discretement au passage dans la bourse de Teclis.Bien entendu Duncane remit son or dans sa bourse, persée, et alla finir de grinoter sa pomme avec des Clik clik derière son passage;une mite géante avait bouffé un carré de tissu de la bourse, bien entendu teclis ne put se résourdre à laisser ce bel or par terre et le rammassa, soudain un bruit immonde vint à leurs oreilles:
sieur Balrix avait laché un pet monstrueux, remplissant la forêt d'une odeur abominablement nauséabonde, un nuage verdatre flottait derrière lui, pauvres oiseaux, pensa le groupe, ils tombent comme des mouches. Sieur Duncane se retourna horrifié, la mite géante affectueusement accrochée à ses bourses et vrombissant de bonheur. Gaius l'entendant, la transpersa avec son glaive. Duncane se retourna et vis le glaive passer, vi sa bourse de cuir et s'étonna : "une bonne peau d'orc comme ça ..."
Gaius se resaisit, nettoya sa lame et, d'un air stoic déclara .. " ces bois sont remplis de sales bestiolles". Duncane, avisant teclis penché lui dit holà mon brave, besoin d'aide pour ramasser ces pièces ?" et teclis du tac au tac : "Sans façon, pourquoi il y a eu un problème avec votre bourse ?".
Duncane répondit : "Et bien il semblerait qu'elle se soit vidée par terre, près de là où vous vous trouvez". Teclis réfléchit quelques instants :"Hum,hum, dommage que je ne les ai pas vu, bon c'ets pas le tout mais si on reprenez notre chemin." | |
| | | Elminster Général Gaulois
Nombre de messages : 68 pseudo IG : Ètudiant Date d'inscription : 10/05/2006
| Sujet: Re: un conte de démons Mer 10 Mai - 21:57 | |
| Il y'a bien longtemps se trouvait être une bande de joyeux lurons, quelques uns armées jusqu'aux dents, quelques autres capables de prouesses par la force, quelques autres poètes immérites, dont les créations se trouvaient même à la cour de l'empereur. Alors ce groupe d'ahuris décida de partir à l'aventure, et se mit en route en chantant "A l'aventure compagnons ...", malheureusement leurs petit chansonette énerva un orc passant par là, le combat fut rude, pour détérminer qui aller botter les fesses de ce trublion, bien entendu Duncane s'engagea aussitôt il lui botta les fesse à coup de bottes en fer qu'il avait fort commodément chaussées avant de partir. L'orc tout cabossé, prenant son courage à demain s'enfuit à tire d'aile, Duncane fut félicité par tout le groupe et celui ci déclara: "eh beng, ma fôa, je ne regrette pôa d'avoir acheté cette paire de bottes magiques avec les deniers du sieur Teclis", puis se retournant vers Tecliss, déclara : "Pas trop déçu d'avoir perdu cet argent dans notre pari ?" Et celui ci répondit : "Ne t'inquiète pas, regarde ta bourse". Et il la regarda et fut agréablement surpris de la découvrir pleine d'or. Il fut intrigué, il regarda de plus près, tata les pièces et constata que c'était de la toque. Il s'écria "ronondidju, espèce de #@#°°! qu'as-tu fait de mes pièces vile cochon" en sortant son canif, il lui répondit: "trop d'alcool te rend pauvre ?" et s'en alla pour éviter le coup de canif. Duncane qui avait sorti son canif pour éplucher une pomme se mit tranquilement à grignoter.Teclis magnanime lui rendit une partie de son or ( vrai celui là), que Duncane repris dignement et rangea dans sa bourse, non sans se servir discretement au passage dans la bourse de Teclis.Bien entendu Duncane remit son or dans sa bourse, persée, et alla finir de grinoter sa pomme avec des Clik clik derière son passage;une mite géante avait bouffé un carré de tissu de la bourse, bien entendu teclis ne put se résourdre à laisser ce bel or par terre et le rammassa, soudain un bruit immonde vint à leurs oreilles:
sieur Balrix avait laché un pet monstrueux, remplissant la forêt d'une odeur abominablement nauséabonde, un nuage verdatre flottait derrière lui, pauvres oiseaux, pensa le groupe, ils tombent comme des mouches. Sieur Duncane se retourna horrifié, la mite géante affectueusement accrochée à ses bourses et vrombissant de bonheur. Gaius l'entendant, la transpersa avec son glaive. Duncane se retourna et vis le glaive passer, vi sa bourse de cuir et s'étonna : "une bonne peau d'orc comme ça ..."
Gaius se resaisit, nettoya sa lame et, d'un air stoic déclara .. " ces bois sont remplis de sales bestiolles". Duncane, avisant teclis penché lui dit holà mon brave, besoin d'aide pour ramasser ces pièces ?" et teclis du tac au tac : "Sans façon, pourquoi il y a eu un problème avec votre bourse ?".
Duncane répondit : "Et bien il semblerait qu'elle se soit vidée par terre, près de là où vous vous trouvez". Teclis réfléchit quelques instants :"Hum,hum, dommage que je ne les ai pas vu, bon c'ets pas le tout mais si on reprenez notre chemin."
Elminster passant non loin, entendit l'échange de ces deux seigneurs, il décida prestement de cacher son or, bien en lieu sur, puis s'approcha des deux dirigeants en les saluant. | |
| | | duncane (alyscia)
Nombre de messages : 873 Age : 42 Localisation : Province du Nord Ouest Date d'inscription : 09/05/2006
| Sujet: Re: un conte de démons Jeu 11 Mai - 11:59 | |
| Il y'a bien longtemps se trouvait être une bande de joyeux lurons, quelques uns armées jusqu'aux dents, quelques autres capables de prouesses par la force, quelques autres poètes immérites, dont les créations se trouvaient même à la cour de l'empereur. Alors ce groupe d'ahuris décida de partir à l'aventure, et se mit en route en chantant "A l'aventure compagnons ...", malheureusement leurs petit chansonette énerva un orc passant par là, le combat fut rude, pour détérminer qui aller botter les fesses de ce trublion, bien entendu Duncane s'engagea aussitôt il lui botta les fesse à coup de bottes en fer qu'il avait fort commodément chaussées avant de partir. L'orc tout cabossé, prenant son courage à demain s'enfuit à tire d'aile, Duncane fut félicité par tout le groupe et celui ci déclara: "eh beng, ma fôa, je ne regrette pôa d'avoir acheté cette paire de bottes magiques avec les deniers du sieur Teclis", puis se retournant vers Tecliss, déclara : "Pas trop déçu d'avoir perdu cet argent dans notre pari ?" Et celui ci répondit : "Ne t'inquiète pas, regarde ta bourse". Et il la regarda et fut agréablement surpris de la découvrir pleine d'or. Il fut intrigué, il regarda de plus près, tata les pièces et constata que c'était de la toque. Il s'écria "ronondidju, espèce de #@#°°! qu'as-tu fait de mes pièces vile cochon" en sortant son canif, il lui répondit: "trop d'alcool te rend pauvre ?" et s'en alla pour éviter le coup de canif. Duncane qui avait sorti son canif pour éplucher une pomme se mit tranquilement à grignoter.Teclis magnanime lui rendit une partie de son or ( vrai celui là), que Duncane repris dignement et rangea dans sa bourse, non sans se servir discretement au passage dans la bourse de Teclis.Bien entendu Duncane remit son or dans sa bourse, persée, et alla finir de grinoter sa pomme avec des Clik clik derière son passage;une mite géante avait bouffé un carré de tissu de la bourse, bien entendu teclis ne put se résourdre à laisser ce bel or par terre et le rammassa, soudain un bruit immonde vint à leurs oreilles:
sieur Balrix avait laché un pet monstrueux, remplissant la forêt d'une odeur abominablement nauséabonde, un nuage verdatre flottait derrière lui, pauvres oiseaux, pensa le groupe, ils tombent comme des mouches. Sieur Duncane se retourna horrifié, la mite géante affectueusement accrochée à ses bourses et vrombissant de bonheur. Gaius l'entendant, la transpersa avec son glaive. Duncane se retourna et vis le glaive passer, vi sa bourse de cuir et s'étonna : "une bonne peau d'orc comme ça ..."
Gaius se resaisit, nettoya sa lame et, d'un air stoic déclara .. " ces bois sont remplis de sales bestiolles". Duncane, avisant teclis penché lui dit holà mon brave, besoin d'aide pour ramasser ces pièces ?" et teclis du tac au tac : "Sans façon, pourquoi il y a eu un problème avec votre bourse ?".
Duncane répondit : "Et bien il semblerait qu'elle se soit vidée par terre, près de là où vous vous trouvez". Teclis réfléchit quelques instants :"Hum,hum, dommage que je ne les ai pas vu, bon c'ets pas le tout mais si on reprenez notre chemin."
Elminster passant non loin, entendit l'échange de ces deux seigneurs, il décida prestement de cacher son or, bien en lieu sur, puis s'approcha des deux dirigeants en les saluant. Voyant cet étranger approcher en saluant, Duncane le salua également, simple question de politesse. | |
| | | Gaius Scipion Chef de l'Alliance
Nombre de messages : 2774 Date d'inscription : 09/05/2006
| Sujet: Re: un conte de démons Jeu 11 Mai - 12:44 | |
| Il y'a bien longtemps se trouvait être une bande de joyeux lurons, quelques uns armées jusqu'aux dents, quelques autres capables de prouesses par la force, quelques autres poètes immérites, dont les créations se trouvaient même à la cour de l'empereur. Alors ce groupe d'ahuris décida de partir à l'aventure, et se mit en route en chantant "A l'aventure compagnons ...", malheureusement leurs petit chansonette énerva un orc passant par là, le combat fut rude, pour détérminer qui aller botter les fesses de ce trublion, bien entendu Duncane s'engagea aussitôt il lui botta les fesse à coup de bottes en fer qu'il avait fort commodément chaussées avant de partir. L'orc tout cabossé, prenant son courage à demain s'enfuit à tire d'aile, Duncane fut félicité par tout le groupe et celui ci déclara: "eh beng, ma fôa, je ne regrette pôa d'avoir acheté cette paire de bottes magiques avec les deniers du sieur Teclis", puis se retournant vers Tecliss, déclara : "Pas trop déçu d'avoir perdu cet argent dans notre pari ?" Et celui ci répondit : "Ne t'inquiète pas, regarde ta bourse". Et il la regarda et fut agréablement surpris de la découvrir pleine d'or. Il fut intrigué, il regarda de plus près, tata les pièces et constata que c'était de la toque. Il s'écria "ronondidju, espèce de #@#°°! qu'as-tu fait de mes pièces vile cochon" en sortant son canif, il lui répondit: "trop d'alcool te rend pauvre ?" et s'en alla pour éviter le coup de canif. Duncane qui avait sorti son canif pour éplucher une pomme se mit tranquilement à grignoter.Teclis magnanime lui rendit une partie de son or ( vrai celui là), que Duncane repris dignement et rangea dans sa bourse, non sans se servir discretement au passage dans la bourse de Teclis.Bien entendu Duncane remit son or dans sa bourse, persée, et alla finir de grinoter sa pomme avec des Clik clik derière son passage;une mite géante avait bouffé un carré de tissu de la bourse, bien entendu teclis ne put se résourdre à laisser ce bel or par terre et le rammassa, soudain un bruit immonde vint à leurs oreilles:
sieur Balrix avait laché un pet monstrueux, remplissant la forêt d'une odeur abominablement nauséabonde, un nuage verdatre flottait derrière lui, pauvres oiseaux, pensa le groupe, ils tombent comme des mouches. Sieur Duncane se retourna horrifié, la mite géante affectueusement accrochée à ses bourses et vrombissant de bonheur. Gaius l'entendant, la transpersa avec son glaive. Duncane se retourna et vis le glaive passer, vi sa bourse de cuir et s'étonna : "une bonne peau d'orc comme ça ..."
Gaius se resaisit, nettoya sa lame et, d'un air stoic déclara .. " ces bois sont remplis de sales bestiolles". Duncane, avisant teclis penché lui dit holà mon brave, besoin d'aide pour ramasser ces pièces ?" et teclis du tac au tac : "Sans façon, pourquoi il y a eu un problème avec votre bourse ?".
Duncane répondit : "Et bien il semblerait qu'elle se soit vidée par terre, près de là où vous vous trouvez". Teclis réfléchit quelques instants :"Hum,hum, dommage que je ne les ai pas vu, bon c'ets pas le tout mais si on reprenez notre chemin."
Elminster passant non loin, entendit l'échange de ces deux seigneurs, il décida prestement de cacher son or, bien en lieu sur, puis s'approcha des deux dirigeants en les saluant. Voyant cet étranger approcher en saluant, Duncane le salua également, simple question de politesse.
C'est précisément à cet instant qu'une nuée d'abeilles géantes toutes ailes et pattes déployées, vrombissant de bonheur, le confondant avec une fleur à butiner, saisirent l'occasion pour foncer sur Elminster, attirées par l'hydromel qu'il avait acheté à la taverne du 'Sanglier Flamboyant' et ses habits de gaulois aux couleurs éclatantes, | |
| | | Gaius Scipion Chef de l'Alliance
Nombre de messages : 2774 Date d'inscription : 09/05/2006
| Sujet: Re: un conte de démons Mer 17 Mai - 20:28 | |
| Il y'a bien longtemps se trouvait être une bande de joyeux lurons, quelques uns armées jusqu'aux dents, quelques autres capables de prouesses par la force, quelques autres poètes immérites, dont les créations se trouvaient même à la cour de l'empereur. Alors ce groupe d'ahuris décida de partir à l'aventure, et se mit en route en chantant "A l'aventure compagnons ...", malheureusement leurs petit chansonette énerva un orc passant par là, le combat fut rude, pour détérminer qui aller botter les fesses de ce trublion, bien entendu Duncane s'engagea aussitôt il lui botta les fesse à coup de bottes en fer qu'il avait fort commodément chaussées avant de partir. L'orc tout cabossé, prenant son courage à demain s'enfuit à tire d'aile, Duncane fut félicité par tout le groupe et celui ci déclara: "eh beng, ma fôa, je ne regrette pôa d'avoir acheté cette paire de bottes magiques avec les deniers du sieur Teclis", puis se retournant vers Tecliss, déclara : "Pas trop déçu d'avoir perdu cet argent dans notre pari ?" Et celui ci répondit : "Ne t'inquiète pas, regarde ta bourse". Et il la regarda et fut agréablement surpris de la découvrir pleine d'or. Il fut intrigué, il regarda de plus près, tata les pièces et constata que c'était de la toque. Il s'écria "ronondidju, espèce de #@#°°! qu'as-tu fait de mes pièces vile cochon" en sortant son canif, il lui répondit: "trop d'alcool te rend pauvre ?" et s'en alla pour éviter le coup de canif. Duncane qui avait sorti son canif pour éplucher une pomme se mit tranquilement à grignoter.Teclis magnanime lui rendit une partie de son or ( vrai celui là), que Duncane repris dignement et rangea dans sa bourse, non sans se servir discretement au passage dans la bourse de Teclis.Bien entendu Duncane remit son or dans sa bourse, persée, et alla finir de grinoter sa pomme avec des Clik clik derière son passage;une mite géante avait bouffé un carré de tissu de la bourse, bien entendu teclis ne put se résourdre à laisser ce bel or par terre et le rammassa, soudain un bruit immonde vint à leurs oreilles:
sieur Balrix avait laché un pet monstrueux, remplissant la forêt d'une odeur abominablement nauséabonde, un nuage verdatre flottait derrière lui, pauvres oiseaux, pensa le groupe, ils tombent comme des mouches. Sieur Duncane se retourna horrifié, la mite géante affectueusement accrochée à ses bourses et vrombissant de bonheur. Gaius l'entendant, la transpersa avec son glaive. Duncane se retourna et vis le glaive passer, vi sa bourse de cuir et s'étonna : "une bonne peau d'orc comme ça ..."
Gaius se resaisit, nettoya sa lame et, d'un air stoic déclara .. " ces bois sont remplis de sales bestiolles". Duncane, avisant teclis penché lui dit holà mon brave, besoin d'aide pour ramasser ces pièces ?" et teclis du tac au tac : "Sans façon, pourquoi il y a eu un problème avec votre bourse ?".
Duncane répondit : "Et bien il semblerait qu'elle se soit vidée par terre, près de là où vous vous trouvez". Teclis réfléchit quelques instants :"Hum,hum, dommage que je ne les ai pas vu, bon c'ets pas le tout mais si on reprenez notre chemin."
Elminster passant non loin, entendit l'échange de ces deux seigneurs, il décida prestement de cacher son or, bien en lieu sur, puis s'approcha des deux dirigeants en les saluant. Voyant cet étranger approcher en saluant, Duncane le salua également, simple question de politesse.
C'est précisément à cet instant qu'une nuée d'abeilles géantes toutes ailes et pattes déployées, vrombissant de bonheur, le confondant avec une fleur à butiner, saisirent l'occasion pour foncer sur Elminster, attirées par l'hydromel qu'il avait acheté à la taverne du 'Sanglier Flamboyant' et ses habits de gaulois aux couleurs éclatantes.
A la vue des abeilles géantes, Elminster s'enfuit dans la forêt remplie de plantes carnivores et criant comme un gorêt il plongea tête la première dans une marre de boue pour leur échapper | |
| | | duncane (alyscia)
Nombre de messages : 873 Age : 42 Localisation : Province du Nord Ouest Date d'inscription : 09/05/2006
| Sujet: Re: un conte de démons Mer 17 Mai - 20:44 | |
| Il y'a bien longtemps se trouvait être une bande de joyeux lurons, quelques uns armées jusqu'aux dents, quelques autres capables de prouesses par la force, quelques autres poètes immérites, dont les créations se trouvaient même à la cour de l'empereur. Alors ce groupe d'ahuris décida de partir à l'aventure, et se mit en route en chantant "A l'aventure compagnons ...", malheureusement leurs petit chansonette énerva un orc passant par là, le combat fut rude, pour détérminer qui aller botter les fesses de ce trublion, bien entendu Duncane s'engagea aussitôt il lui botta les fesse à coup de bottes en fer qu'il avait fort commodément chaussées avant de partir. L'orc tout cabossé, prenant son courage à demain s'enfuit à tire d'aile, Duncane fut félicité par tout le groupe et celui ci déclara: "eh beng, ma fôa, je ne regrette pôa d'avoir acheté cette paire de bottes magiques avec les deniers du sieur Teclis", puis se retournant vers Tecliss, déclara : "Pas trop déçu d'avoir perdu cet argent dans notre pari ?" Et celui ci répondit : "Ne t'inquiète pas, regarde ta bourse". Et il la regarda et fut agréablement surpris de la découvrir pleine d'or. Il fut intrigué, il regarda de plus près, tata les pièces et constata que c'était de la toque. Il s'écria "ronondidju, espèce de #@#°°! qu'as-tu fait de mes pièces vile cochon" en sortant son canif, il lui répondit: "trop d'alcool te rend pauvre ?" et s'en alla pour éviter le coup de canif. Duncane qui avait sorti son canif pour éplucher une pomme se mit tranquilement à grignoter.Teclis magnanime lui rendit une partie de son or ( vrai celui là), que Duncane repris dignement et rangea dans sa bourse, non sans se servir discretement au passage dans la bourse de Teclis.Bien entendu Duncane remit son or dans sa bourse, persée, et alla finir de grinoter sa pomme avec des Clik clik derière son passage;une mite géante avait bouffé un carré de tissu de la bourse, bien entendu teclis ne put se résourdre à laisser ce bel or par terre et le rammassa, soudain un bruit immonde vint à leurs oreilles:
sieur Balrix avait laché un pet monstrueux, remplissant la forêt d'une odeur abominablement nauséabonde, un nuage verdatre flottait derrière lui, pauvres oiseaux, pensa le groupe, ils tombent comme des mouches. Sieur Duncane se retourna horrifié, la mite géante affectueusement accrochée à ses bourses et vrombissant de bonheur. Gaius l'entendant, la transpersa avec son glaive. Duncane se retourna et vis le glaive passer, vi sa bourse de cuir et s'étonna : "une bonne peau d'orc comme ça ..."
Gaius se resaisit, nettoya sa lame et, d'un air stoic déclara .. " ces bois sont remplis de sales bestiolles". Duncane, avisant teclis penché lui dit holà mon brave, besoin d'aide pour ramasser ces pièces ?" et teclis du tac au tac : "Sans façon, pourquoi il y a eu un problème avec votre bourse ?".
Duncane répondit : "Et bien il semblerait qu'elle se soit vidée par terre, près de là où vous vous trouvez". Teclis réfléchit quelques instants :"Hum,hum, dommage que je ne les ai pas vu, bon c'ets pas le tout mais si on reprenez notre chemin."
Elminster passant non loin, entendit l'échange de ces deux seigneurs, il décida prestement de cacher son or, bien en lieu sur, puis s'approcha des deux dirigeants en les saluant. Voyant cet étranger approcher en saluant, Duncane le salua également, simple question de politesse.
C'est précisément à cet instant qu'une nuée d'abeilles géantes toutes ailes et pattes déployées, vrombissant de bonheur, le confondant avec une fleur à butiner, saisirent l'occasion pour foncer sur Elminster, attirées par l'hydromel qu'il avait acheté à la taverne du 'Sanglier Flamboyant' et ses habits de gaulois aux couleurs éclatantes.
A la vue des abeilles géantes, Elminster s'enfuit dans la forêt remplie de plantes carnivores et criant comme un gorêt il plongea tête la première dans une marre de boue pour leur échapper.
Gaius, n'écouttant que son courrage plongea après Elminster, et assoma sans le faire exprès un innocent crocodile qui passait par là. Pendant ce temps, Duncane sorti son bouclier, l'attacha à la lance de son peplum, et s'en servit comme d'une gigantesque tapette à mouches, ou plutôt abeilles. | |
| | | Gaius Scipion Chef de l'Alliance
Nombre de messages : 2774 Date d'inscription : 09/05/2006
| Sujet: Re: un conte de démons Mer 17 Mai - 20:47 | |
| Il y'a bien longtemps se trouvait être une bande de joyeux lurons, quelques uns armées jusqu'aux dents, quelques autres capables de prouesses par la force, quelques autres poètes immérites, dont les créations se trouvaient même à la cour de l'empereur. Alors ce groupe d'ahuris décida de partir à l'aventure, et se mit en route en chantant "A l'aventure compagnons ...", malheureusement leurs petit chansonette énerva un orc passant par là, le combat fut rude, pour détérminer qui aller botter les fesses de ce trublion, bien entendu Duncane s'engagea aussitôt il lui botta les fesse à coup de bottes en fer qu'il avait fort commodément chaussées avant de partir. L'orc tout cabossé, prenant son courage à demain s'enfuit à tire d'aile, Duncane fut félicité par tout le groupe et celui ci déclara: "eh beng, ma fôa, je ne regrette pôa d'avoir acheté cette paire de bottes magiques avec les deniers du sieur Teclis", puis se retournant vers Tecliss, déclara : "Pas trop déçu d'avoir perdu cet argent dans notre pari ?" Et celui ci répondit : "Ne t'inquiète pas, regarde ta bourse". Et il la regarda et fut agréablement surpris de la découvrir pleine d'or. Il fut intrigué, il regarda de plus près, tata les pièces et constata que c'était de la toque. Il s'écria "ronondidju, espèce de #@#°°! qu'as-tu fait de mes pièces vile cochon" en sortant son canif, il lui répondit: "trop d'alcool te rend pauvre ?" et s'en alla pour éviter le coup de canif. Duncane qui avait sorti son canif pour éplucher une pomme se mit tranquilement à grignoter.Teclis magnanime lui rendit une partie de son or ( vrai celui là), que Duncane repris dignement et rangea dans sa bourse, non sans se servir discretement au passage dans la bourse de Teclis.Bien entendu Duncane remit son or dans sa bourse, persée, et alla finir de grinoter sa pomme avec des Clik clik derière son passage;une mite géante avait bouffé un carré de tissu de la bourse, bien entendu teclis ne put se résourdre à laisser ce bel or par terre et le rammassa, soudain un bruit immonde vint à leurs oreilles:
sieur Balrix avait laché un pet monstrueux, remplissant la forêt d'une odeur abominablement nauséabonde, un nuage verdatre flottait derrière lui, pauvres oiseaux, pensa le groupe, ils tombent comme des mouches. Sieur Duncane se retourna horrifié, la mite géante affectueusement accrochée à ses bourses et vrombissant de bonheur. Gaius l'entendant, la transpersa avec son glaive. Duncane se retourna et vis le glaive passer, vi sa bourse de cuir et s'étonna : "une bonne peau d'orc comme ça ..."
Gaius se resaisit, nettoya sa lame et, d'un air stoic déclara .. " ces bois sont remplis de sales bestiolles". Duncane, avisant teclis penché lui dit holà mon brave, besoin d'aide pour ramasser ces pièces ?" et teclis du tac au tac : "Sans façon, pourquoi il y a eu un problème avec votre bourse ?".
Duncane répondit : "Et bien il semblerait qu'elle se soit vidée par terre, près de là où vous vous trouvez". Teclis réfléchit quelques instants :"Hum,hum, dommage que je ne les ai pas vu, bon c'ets pas le tout mais si on reprenez notre chemin."
Elminster passant non loin, entendit l'échange de ces deux seigneurs, il décida prestement de cacher son or, bien en lieu sur, puis s'approcha des deux dirigeants en les saluant. Voyant cet étranger approcher en saluant, Duncane le salua également, simple question de politesse.
C'est précisément à cet instant qu'une nuée d'abeilles géantes toutes ailes et pattes déployées, vrombissant de bonheur, le confondant avec une fleur à butiner, saisirent l'occasion pour foncer sur Elminster, attirées par l'hydromel qu'il avait acheté à la taverne du 'Sanglier Flamboyant' et ses habits de gaulois aux couleurs éclatantes.
A la vue des abeilles géantes, Elminster s'enfuit dans la forêt remplie de plantes carnivores et criant comme un gorêt il plongea tête la première dans une marre de boue pour leur échapper.
Gaius, n'écouttant que son courrage plongea après Elminster, et assoma sans le faire exprès un innocent crocodile qui passait par là. Pendant ce temps, Duncane sorti son bouclier, l'attacha à la lance de son peplum, et s'en servit comme d'une gigantesque tapette à mouches, ou plutôt abeilles.
Balrix à la traine se rapprocha du groupe sirotant une délicieuse concoction d'herbes magiques aux effets secondaires spectaculaires (voir plus haut), recette secrète jalousement gardée par quelques druides accariâtres.
Il était accompagné de sieur Jester aux habits de bouffon, les petites clochettes tintillantes de joie et de bonne humeur.. | |
| | | duncane (alyscia)
Nombre de messages : 873 Age : 42 Localisation : Province du Nord Ouest Date d'inscription : 09/05/2006
| Sujet: Re: un conte de démons Mer 17 Mai - 20:50 | |
| Il y'a bien longtemps se trouvait être une bande de joyeux lurons, quelques uns armées jusqu'aux dents, quelques autres capables de prouesses par la force, quelques autres poètes immérites, dont les créations se trouvaient même à la cour de l'empereur. Alors ce groupe d'ahuris décida de partir à l'aventure, et se mit en route en chantant "A l'aventure compagnons ...", malheureusement leurs petit chansonette énerva un orc passant par là, le combat fut rude, pour détérminer qui aller botter les fesses de ce trublion, bien entendu Duncane s'engagea aussitôt il lui botta les fesse à coup de bottes en fer qu'il avait fort commodément chaussées avant de partir. L'orc tout cabossé, prenant son courage à demain s'enfuit à tire d'aile, Duncane fut félicité par tout le groupe et celui ci déclara: "eh beng, ma fôa, je ne regrette pôa d'avoir acheté cette paire de bottes magiques avec les deniers du sieur Teclis", puis se retournant vers Tecliss, déclara : "Pas trop déçu d'avoir perdu cet argent dans notre pari ?" Et celui ci répondit : "Ne t'inquiète pas, regarde ta bourse". Et il la regarda et fut agréablement surpris de la découvrir pleine d'or. Il fut intrigué, il regarda de plus près, tata les pièces et constata que c'était de la toque. Il s'écria "ronondidju, espèce de #@#°°! qu'as-tu fait de mes pièces vile cochon" en sortant son canif, il lui répondit: "trop d'alcool te rend pauvre ?" et s'en alla pour éviter le coup de canif. Duncane qui avait sorti son canif pour éplucher une pomme se mit tranquilement à grignoter.Teclis magnanime lui rendit une partie de son or ( vrai celui là), que Duncane repris dignement et rangea dans sa bourse, non sans se servir discretement au passage dans la bourse de Teclis.Bien entendu Duncane remit son or dans sa bourse, persée, et alla finir de grinoter sa pomme avec des Clik clik derière son passage;une mite géante avait bouffé un carré de tissu de la bourse, bien entendu teclis ne put se résourdre à laisser ce bel or par terre et le rammassa, soudain un bruit immonde vint à leurs oreilles:
sieur Balrix avait laché un pet monstrueux, remplissant la forêt d'une odeur abominablement nauséabonde, un nuage verdatre flottait derrière lui, pauvres oiseaux, pensa le groupe, ils tombent comme des mouches. Sieur Duncane se retourna horrifié, la mite géante affectueusement accrochée à ses bourses et vrombissant de bonheur. Gaius l'entendant, la transpersa avec son glaive. Duncane se retourna et vis le glaive passer, vi sa bourse de cuir et s'étonna : "une bonne peau d'orc comme ça ..."
Gaius se resaisit, nettoya sa lame et, d'un air stoic déclara .. " ces bois sont remplis de sales bestiolles". Duncane, avisant teclis penché lui dit holà mon brave, besoin d'aide pour ramasser ces pièces ?" et teclis du tac au tac : "Sans façon, pourquoi il y a eu un problème avec votre bourse ?".
Duncane répondit : "Et bien il semblerait qu'elle se soit vidée par terre, près de là où vous vous trouvez". Teclis réfléchit quelques instants :"Hum,hum, dommage que je ne les ai pas vu, bon c'ets pas le tout mais si on reprenez notre chemin."
Elminster passant non loin, entendit l'échange de ces deux seigneurs, il décida prestement de cacher son or, bien en lieu sur, puis s'approcha des deux dirigeants en les saluant. Voyant cet étranger approcher en saluant, Duncane le salua également, simple question de politesse.
C'est précisément à cet instant qu'une nuée d'abeilles géantes toutes ailes et pattes déployées, vrombissant de bonheur, le confondant avec une fleur à butiner, saisirent l'occasion pour foncer sur Elminster, attirées par l'hydromel qu'il avait acheté à la taverne du 'Sanglier Flamboyant' et ses habits de gaulois aux couleurs éclatantes.
A la vue des abeilles géantes, Elminster s'enfuit dans la forêt remplie de plantes carnivores et criant comme un gorêt il plongea tête la première dans une marre de boue pour leur échapper.
Gaius, n'écouttant que son courrage plongea après Elminster, et assoma sans le faire exprès un innocent crocodile qui passait par là. Pendant ce temps, Duncane sorti son bouclier, l'attacha à la lance de son peplum, et s'en servit comme d'une gigantesque tapette à mouches, ou plutôt abeilles.
Balrix à la traine se rapprocha du groupe sirotant une délicieuse concoction d'herbes magiques aux effets secondaires spectaculaires (voir plus haut), recette secrète jalousement gardée par quelques druides accariâtres.
Il était accompagné de sieur Jester aux habits de bouffon, les petites clochettes tintillantes de joie et de bonne humeur.
Jester voyant le foutoir que Gaius était en train de mettre, lui dit :
- Mon brave, vous me traiterez peut être de bouffon, ce que je suis, mais je pense que vous avancerez plus vite sans votre armure.
Et ce disant, il se lança dans une suite de pirouettes, accompagnées de rimes sans queue ni tête. | |
| | | Tempestus TRIBUN NORD
Nombre de messages : 593 Date d'inscription : 09/05/2006
| Sujet: re Mer 17 Mai - 21:21 | |
| Il y'a bien longtemps se trouvait être une bande de joyeux lurons, quelques uns armées jusqu'aux dents, quelques autres capables de prouesses par la force, quelques autres poètes immérites, dont les créations se trouvaient même à la cour de l'empereur. Alors ce groupe d'ahuris décida de partir à l'aventure, et se mit en route en chantant "A l'aventure compagnons ...", malheureusement leurs petit chansonette énerva un orc passant par là, le combat fut rude, pour détérminer qui aller botter les fesses de ce trublion, bien entendu Duncane s'engagea aussitôt il lui botta les fesse à coup de bottes en fer qu'il avait fort commodément chaussées avant de partir. L'orc tout cabossé, prenant son courage à demain s'enfuit à tire d'aile, Duncane fut félicité par tout le groupe et celui ci déclara: "eh beng, ma fôa, je ne regrette pôa d'avoir acheté cette paire de bottes magiques avec les deniers du sieur Teclis", puis se retournant vers Tecliss, déclara : "Pas trop déçu d'avoir perdu cet argent dans notre pari ?" Et celui ci répondit : "Ne t'inquiète pas, regarde ta bourse". Et il la regarda et fut agréablement surpris de la découvrir pleine d'or. Il fut intrigué, il regarda de plus près, tata les pièces et constata que c'était de la toque. Il s'écria "ronondidju, espèce de #@#°°! qu'as-tu fait de mes pièces vile cochon" en sortant son canif, il lui répondit: "trop d'alcool te rend pauvre ?" et s'en alla pour éviter le coup de canif. Duncane qui avait sorti son canif pour éplucher une pomme se mit tranquilement à grignoter.Teclis magnanime lui rendit une partie de son or ( vrai celui là), que Duncane repris dignement et rangea dans sa bourse, non sans se servir discretement au passage dans la bourse de Teclis.Bien entendu Duncane remit son or dans sa bourse, persée, et alla finir de grinoter sa pomme avec des Clik clik derière son passage;une mite géante avait bouffé un carré de tissu de la bourse, bien entendu teclis ne put se résourdre à laisser ce bel or par terre et le rammassa, soudain un bruit immonde vint à leurs oreilles:
sieur Balrix avait laché un pet monstrueux, remplissant la forêt d'une odeur abominablement nauséabonde, un nuage verdatre flottait derrière lui, pauvres oiseaux, pensa le groupe, ils tombent comme des mouches. Sieur Duncane se retourna horrifié, la mite géante affectueusement accrochée à ses bourses et vrombissant de bonheur. Gaius l'entendant, la transpersa avec son glaive. Duncane se retourna et vis le glaive passer, vi sa bourse de cuir et s'étonna : "une bonne peau d'orc comme ça ..."
Gaius se resaisit, nettoya sa lame et, d'un air stoic déclara .. " ces bois sont remplis de sales bestiolles". Duncane, avisant teclis penché lui dit holà mon brave, besoin d'aide pour ramasser ces pièces ?" et teclis du tac au tac : "Sans façon, pourquoi il y a eu un problème avec votre bourse ?".
Duncane répondit : "Et bien il semblerait qu'elle se soit vidée par terre, près de là où vous vous trouvez". Teclis réfléchit quelques instants :"Hum,hum, dommage que je ne les ai pas vu, bon c'ets pas le tout mais si on reprenez notre chemin."
Elminster passant non loin, entendit l'échange de ces deux seigneurs, il décida prestement de cacher son or, bien en lieu sur, puis s'approcha des deux dirigeants en les saluant. Voyant cet étranger approcher en saluant, Duncane le salua également, simple question de politesse.
C'est précisément à cet instant qu'une nuée d'abeilles géantes toutes ailes et pattes déployées, vrombissant de bonheur, le confondant avec une fleur à butiner, saisirent l'occasion pour foncer sur Elminster, attirées par l'hydromel qu'il avait acheté à la taverne du 'Sanglier Flamboyant' et ses habits de gaulois aux couleurs éclatantes.
A la vue des abeilles géantes, Elminster s'enfuit dans la forêt remplie de plantes carnivores et criant comme un gorêt il plongea tête la première dans une marre de boue pour leur échapper.
Gaius, n'écouttant que son courrage plongea après Elminster, et assoma sans le faire exprès un innocent crocodile qui passait par là. Pendant ce temps, Duncane sorti son bouclier, l'attacha à la lance de son peplum, et s'en servit comme d'une gigantesque tapette à mouches, ou plutôt abeilles.
Balrix à la traine se rapprocha du groupe sirotant une délicieuse concoction d'herbes magiques aux effets secondaires spectaculaires (voir plus haut), recette secrète jalousement gardée par quelques druides accariâtres.
Il était accompagné de sieur Jester aux habits de bouffon, les petites clochettes tintillantes de joie et de bonne humeur.
Jester voyant le foutoir que Gaius était en train de mettre, lui dit :
- Mon brave, vous me traiterez peut être de bouffon, ce que je suis, mais je pense que vous avancerez plus vite sans votre armure.
Et ce disant, il se lança dans une suite de pirouettes, accompagnées de rimes sans queue ni tête.
C'est alors que Tempestus sorti de l'eau un pilum planté profondément dans l'ognion... sans crier gare, duncan avait crevé le canard en plastique du triste sir lui perforant le fessard ma foi fort ensanglanté, mais la rougeur de son fessard ne dépassa pas la rougeur de son visage lorsqu'il vit tout ce beau monde empieter dans sa belle piscine privée, travaillée à ce qu'elle ressemble à se meprendre à un marais.... | |
| | | Gaius Scipion Chef de l'Alliance
Nombre de messages : 2774 Date d'inscription : 09/05/2006
| Sujet: Re: un conte de démons Jeu 18 Mai - 15:21 | |
| Il y'a bien longtemps se trouvait être une bande de joyeux lurons, quelques uns armées jusqu'aux dents, quelques autres capables de prouesses par la force, quelques autres poètes immérites, dont les créations se trouvaient même à la cour de l'empereur. Alors ce groupe d'ahuris décida de partir à l'aventure, et se mit en route en chantant "A l'aventure compagnons ...", malheureusement leurs petit chansonette énerva un orc passant par là, le combat fut rude, pour détérminer qui aller botter les fesses de ce trublion, bien entendu Duncane s'engagea aussitôt il lui botta les fesse à coup de bottes en fer qu'il avait fort commodément chaussées avant de partir. L'orc tout cabossé, prenant son courage à demain s'enfuit à tire d'aile, Duncane fut félicité par tout le groupe et celui ci déclara: "eh beng, ma fôa, je ne regrette pôa d'avoir acheté cette paire de bottes magiques avec les deniers du sieur Teclis", puis se retournant vers Tecliss, déclara : "Pas trop déçu d'avoir perdu cet argent dans notre pari ?" Et celui ci répondit : "Ne t'inquiète pas, regarde ta bourse". Et il la regarda et fut agréablement surpris de la découvrir pleine d'or. Il fut intrigué, il regarda de plus près, tata les pièces et constata que c'était de la toque. Il s'écria "ronondidju, espèce de #@#°°! qu'as-tu fait de mes pièces vile cochon" en sortant son canif, il lui répondit: "trop d'alcool te rend pauvre ?" et s'en alla pour éviter le coup de canif. Duncane qui avait sorti son canif pour éplucher une pomme se mit tranquilement à grignoter.Teclis magnanime lui rendit une partie de son or ( vrai celui là), que Duncane repris dignement et rangea dans sa bourse, non sans se servir discretement au passage dans la bourse de Teclis.Bien entendu Duncane remit son or dans sa bourse, persée, et alla finir de grinoter sa pomme avec des Clik clik derière son passage;une mite géante avait bouffé un carré de tissu de la bourse, bien entendu teclis ne put se résourdre à laisser ce bel or par terre et le rammassa, soudain un bruit immonde vint à leurs oreilles:
sieur Balrix avait laché un pet monstrueux, remplissant la forêt d'une odeur abominablement nauséabonde, un nuage verdatre flottait derrière lui, pauvres oiseaux, pensa le groupe, ils tombent comme des mouches. Sieur Duncane se retourna horrifié, la mite géante affectueusement accrochée à ses bourses et vrombissant de bonheur. Gaius l'entendant, la transpersa avec son glaive. Duncane se retourna et vis le glaive passer, vi sa bourse de cuir et s'étonna : "une bonne peau d'orc comme ça ..."
Gaius se resaisit, nettoya sa lame et, d'un air stoic déclara .. " ces bois sont remplis de sales bestiolles". Duncane, avisant teclis penché lui dit holà mon brave, besoin d'aide pour ramasser ces pièces ?" et teclis du tac au tac : "Sans façon, pourquoi il y a eu un problème avec votre bourse ?".
Duncane répondit : "Et bien il semblerait qu'elle se soit vidée par terre, près de là où vous vous trouvez". Teclis réfléchit quelques instants :"Hum,hum, dommage que je ne les ai pas vu, bon c'ets pas le tout mais si on reprenez notre chemin."
Elminster passant non loin, entendit l'échange de ces deux seigneurs, il décida prestement de cacher son or, bien en lieu sur, puis s'approcha des deux dirigeants en les saluant. Voyant cet étranger approcher en saluant, Duncane le salua également, simple question de politesse.
C'est précisément à cet instant qu'une nuée d'abeilles géantes toutes ailes et pattes déployées, vrombissant de bonheur, le confondant avec une fleur à butiner, saisirent l'occasion pour foncer sur Elminster, attirées par l'hydromel qu'il avait acheté à la taverne du 'Sanglier Flamboyant' et ses habits de gaulois aux couleurs éclatantes.
A la vue des abeilles géantes, Elminster s'enfuit dans la forêt remplie de plantes carnivores et criant comme un gorêt il plongea tête la première dans une marre de boue pour leur échapper.
Gaius, n'écouttant que son courrage plongea après Elminster, et assoma sans le faire exprès un innocent crocodile qui passait par là. Pendant ce temps, Duncane sorti son bouclier, l'attacha à la lance de son peplum, et s'en servit comme d'une gigantesque tapette à mouches, ou plutôt abeilles.
Balrix à la traine se rapprocha du groupe sirotant une délicieuse concoction d'herbes magiques aux effets secondaires spectaculaires (voir plus haut), recette secrète jalousement gardée par quelques druides accariâtres.
Il était accompagné de sieur Jester aux habits de bouffon, les petites clochettes tintillantes de joie et de bonne humeur.
Jester voyant le foutoir que Gaius était en train de mettre, lui dit :
- Mon brave, vous me traiterez peut être de bouffon, ce que je suis, mais je pense que vous avancerez plus vite sans votre armure.
Et ce disant, il se lança dans une suite de pirouettes, accompagnées de rimes sans queue ni tête.
C'est alors que Tempestus sorti de l'eau un pilum planté profondément dans l'ognion... sans crier gare, duncan avait crevé le canard en plastique du triste sir lui perforant le fessard ma foi fort ensanglanté, mais la rougeur de son fessard ne dépassa pas la rougeur de son visage lorsqu'il vit tout ce beau monde empieter dans sa belle piscine privée, travaillée à ce qu'elle ressemble à se meprendre à un marais....
C'est à ce moment précis que Monpetitdragon, attiré par les bruits de clochettes du bouffon, saisit l'occasion de surgir de derrière les buissons de nénuphènes actives, plantes au pollen puissament allergène; il ne put s'empêcher d'éternuer une gigantesque flamme sur Jester, le transformant en torche vivante | |
| | | duncane (alyscia)
Nombre de messages : 873 Age : 42 Localisation : Province du Nord Ouest Date d'inscription : 09/05/2006
| Sujet: Re: un conte de démons Lun 22 Mai - 8:31 | |
| Il y'a bien longtemps se trouvait être une bande de joyeux lurons, quelques uns armées jusqu'aux dents, quelques autres capables de prouesses par la force, quelques autres poètes immérites, dont les créations se trouvaient même à la cour de l'empereur. Alors ce groupe d'ahuris décida de partir à l'aventure, et se mit en route en chantant "A l'aventure compagnons ...", malheureusement leurs petit chansonette énerva un orc passant par là, le combat fut rude, pour détérminer qui aller botter les fesses de ce trublion, bien entendu Duncane s'engagea aussitôt il lui botta les fesse à coup de bottes en fer qu'il avait fort commodément chaussées avant de partir. L'orc tout cabossé, prenant son courage à demain s'enfuit à tire d'aile, Duncane fut félicité par tout le groupe et celui ci déclara: "eh beng, ma fôa, je ne regrette pôa d'avoir acheté cette paire de bottes magiques avec les deniers du sieur Teclis", puis se retournant vers Tecliss, déclara : "Pas trop déçu d'avoir perdu cet argent dans notre pari ?" Et celui ci répondit : "Ne t'inquiète pas, regarde ta bourse". Et il la regarda et fut agréablement surpris de la découvrir pleine d'or. Il fut intrigué, il regarda de plus près, tata les pièces et constata que c'était de la toque. Il s'écria "ronondidju, espèce de #@#°°! qu'as-tu fait de mes pièces vile cochon" en sortant son canif, il lui répondit: "trop d'alcool te rend pauvre ?" et s'en alla pour éviter le coup de canif. Duncane qui avait sorti son canif pour éplucher une pomme se mit tranquilement à grignoter.Teclis magnanime lui rendit une partie de son or ( vrai celui là), que Duncane repris dignement et rangea dans sa bourse, non sans se servir discretement au passage dans la bourse de Teclis.Bien entendu Duncane remit son or dans sa bourse, persée, et alla finir de grinoter sa pomme avec des Clik clik derière son passage;une mite géante avait bouffé un carré de tissu de la bourse, bien entendu teclis ne put se résourdre à laisser ce bel or par terre et le rammassa, soudain un bruit immonde vint à leurs oreilles:
sieur Balrix avait laché un pet monstrueux, remplissant la forêt d'une odeur abominablement nauséabonde, un nuage verdatre flottait derrière lui, pauvres oiseaux, pensa le groupe, ils tombent comme des mouches. Sieur Duncane se retourna horrifié, la mite géante affectueusement accrochée à ses bourses et vrombissant de bonheur. Gaius l'entendant, la transpersa avec son glaive. Duncane se retourna et vis le glaive passer, vi sa bourse de cuir et s'étonna : "une bonne peau d'orc comme ça ..."
Gaius se resaisit, nettoya sa lame et, d'un air stoic déclara .. " ces bois sont remplis de sales bestiolles". Duncane, avisant teclis penché lui dit holà mon brave, besoin d'aide pour ramasser ces pièces ?" et teclis du tac au tac : "Sans façon, pourquoi il y a eu un problème avec votre bourse ?".
Duncane répondit : "Et bien il semblerait qu'elle se soit vidée par terre, près de là où vous vous trouvez". Teclis réfléchit quelques instants :"Hum,hum, dommage que je ne les ai pas vu, bon c'ets pas le tout mais si on reprenez notre chemin."
Elminster passant non loin, entendit l'échange de ces deux seigneurs, il décida prestement de cacher son or, bien en lieu sur, puis s'approcha des deux dirigeants en les saluant. Voyant cet étranger approcher en saluant, Duncane le salua également, simple question de politesse.
C'est précisément à cet instant qu'une nuée d'abeilles géantes toutes ailes et pattes déployées, vrombissant de bonheur, le confondant avec une fleur à butiner, saisirent l'occasion pour foncer sur Elminster, attirées par l'hydromel qu'il avait acheté à la taverne du 'Sanglier Flamboyant' et ses habits de gaulois aux couleurs éclatantes.
A la vue des abeilles géantes, Elminster s'enfuit dans la forêt remplie de plantes carnivores et criant comme un gorêt il plongea tête la première dans une marre de boue pour leur échapper.
Gaius, n'écouttant que son courrage plongea après Elminster, et assoma sans le faire exprès un innocent crocodile qui passait par là. Pendant ce temps, Duncane sorti son bouclier, l'attacha à la lance de son peplum, et s'en servit comme d'une gigantesque tapette à mouches, ou plutôt abeilles.
Balrix à la traine se rapprocha du groupe sirotant une délicieuse concoction d'herbes magiques aux effets secondaires spectaculaires (voir plus haut), recette secrète jalousement gardée par quelques druides accariâtres.
Il était accompagné de sieur Jester aux habits de bouffon, les petites clochettes tintillantes de joie et de bonne humeur.
Jester voyant le foutoir que Gaius était en train de mettre, lui dit :
- Mon brave, vous me traiterez peut être de bouffon, ce que je suis, mais je pense que vous avancerez plus vite sans votre armure.
Et ce disant, il se lança dans une suite de pirouettes, accompagnées de rimes sans queue ni tête.
C'est alors que Tempestus sorti de l'eau un pilum planté profondément dans l'ognion... sans crier gare, duncan avait crevé le canard en plastique du triste sir lui perforant le fessard ma foi fort ensanglanté, mais la rougeur de son fessard ne dépassa pas la rougeur de son visage lorsqu'il vit tout ce beau monde empieter dans sa belle piscine privée, travaillée à ce qu'elle ressemble à se meprendre à un marais....
C'est à ce moment précis que Monpetitdragon, attiré par les bruits de clochettes du bouffon, saisit l'occasion de surgir de derrière les buissons de nénuphènes actives, plantes au pollen puissament allergène; il ne put s'empêcher d'éternuer une gigantesque flamme sur Jester, le transformant en torche vivante.
Jester se mit à gambader, prenant bien soin de ne pas enflammer les bois alentours, lorsqu'on lui demanda ce qu'il faisait, il répondit :
- Mais voyez vous, je me promène. - Et le fait que tu sois en train de bruler ne te gènes pas, demanda Gaius. - Non mon brave car voyez vous, je porte une combinaison ignifugée sous mes vêtements, les empereurs et autres rois, ont depuis longtemps décidé que déambuler en feu devant eux faisait parti intégrante de notre rôle, nous avons du nous y faire. | |
| | | Lynec/Djinn TRIBUN SUD
Nombre de messages : 658 pseudo IG : Djinn Alliance : L5DK Date d'inscription : 16/05/2006
| Sujet: Re: un conte de démons Lun 22 Mai - 21:24 | |
| Il y'a bien longtemps se trouvait être une bande de joyeux lurons, quelques uns armées jusqu'aux dents, quelques autres capables de prouesses par la force, quelques autres poètes immérites, dont les créations se trouvaient même à la cour de l'empereur. Alors ce groupe d'ahuris décida de partir à l'aventure, et se mit en route en chantant "A l'aventure compagnons ...", malheureusement leurs petit chansonette énerva un orc passant par là, le combat fut rude, pour détérminer qui aller botter les fesses de ce trublion, bien entendu Duncane s'engagea aussitôt il lui botta les fesse à coup de bottes en fer qu'il avait fort commodément chaussées avant de partir. L'orc tout cabossé, prenant son courage à demain s'enfuit à tire d'aile, Duncane fut félicité par tout le groupe et celui ci déclara: "eh beng, ma fôa, je ne regrette pôa d'avoir acheté cette paire de bottes magiques avec les deniers du sieur Teclis", puis se retournant vers Tecliss, déclara : "Pas trop déçu d'avoir perdu cet argent dans notre pari ?" Et celui ci répondit : "Ne t'inquiète pas, regarde ta bourse". Et il la regarda et fut agréablement surpris de la découvrir pleine d'or. Il fut intrigué, il regarda de plus près, tata les pièces et constata que c'était de la toque. Il s'écria "ronondidju, espèce de #@#°°! qu'as-tu fait de mes pièces vile cochon" en sortant son canif, il lui répondit: "trop d'alcool te rend pauvre ?" et s'en alla pour éviter le coup de canif. Duncane qui avait sorti son canif pour éplucher une pomme se mit tranquilement à grignoter.Teclis magnanime lui rendit une partie de son or ( vrai celui là), que Duncane repris dignement et rangea dans sa bourse, non sans se servir discretement au passage dans la bourse de Teclis.Bien entendu Duncane remit son or dans sa bourse, persée, et alla finir de grinoter sa pomme avec des Clik clik derière son passage;une mite géante avait bouffé un carré de tissu de la bourse, bien entendu teclis ne put se résourdre à laisser ce bel or par terre et le rammassa, soudain un bruit immonde vint à leurs oreilles:
sieur Balrix avait laché un pet monstrueux, remplissant la forêt d'une odeur abominablement nauséabonde, un nuage verdatre flottait derrière lui, pauvres oiseaux, pensa le groupe, ils tombent comme des mouches. Sieur Duncane se retourna horrifié, la mite géante affectueusement accrochée à ses bourses et vrombissant de bonheur. Gaius l'entendant, la transpersa avec son glaive. Duncane se retourna et vis le glaive passer, vi sa bourse de cuir et s'étonna : "une bonne peau d'orc comme ça ..."
Gaius se resaisit, nettoya sa lame et, d'un air stoic déclara .. " ces bois sont remplis de sales bestiolles". Duncane, avisant teclis penché lui dit holà mon brave, besoin d'aide pour ramasser ces pièces ?" et teclis du tac au tac : "Sans façon, pourquoi il y a eu un problème avec votre bourse ?".
Duncane répondit : "Et bien il semblerait qu'elle se soit vidée par terre, près de là où vous vous trouvez". Teclis réfléchit quelques instants :"Hum,hum, dommage que je ne les ai pas vu, bon c'ets pas le tout mais si on reprenez notre chemin."
Elminster passant non loin, entendit l'échange de ces deux seigneurs, il décida prestement de cacher son or, bien en lieu sur, puis s'approcha des deux dirigeants en les saluant. Voyant cet étranger approcher en saluant, Duncane le salua également, simple question de politesse.
C'est précisément à cet instant qu'une nuée d'abeilles géantes toutes ailes et pattes déployées, vrombissant de bonheur, le confondant avec une fleur à butiner, saisirent l'occasion pour foncer sur Elminster, attirées par l'hydromel qu'il avait acheté à la taverne du 'Sanglier Flamboyant' et ses habits de gaulois aux couleurs éclatantes.
A la vue des abeilles géantes, Elminster s'enfuit dans la forêt remplie de plantes carnivores et criant comme un gorêt il plongea tête la première dans une marre de boue pour leur échapper.
Gaius, n'écouttant que son courrage plongea après Elminster, et assoma sans le faire exprès un innocent crocodile qui passait par là. Pendant ce temps, Duncane sorti son bouclier, l'attacha à la lance de son peplum, et s'en servit comme d'une gigantesque tapette à mouches, ou plutôt abeilles.
Balrix à la traine se rapprocha du groupe sirotant une délicieuse concoction d'herbes magiques aux effets secondaires spectaculaires (voir plus haut), recette secrète jalousement gardée par quelques druides accariâtres.
Il était accompagné de sieur Jester aux habits de bouffon, les petites clochettes tintillantes de joie et de bonne humeur.
Jester voyant le foutoir que Gaius était en train de mettre, lui dit :
- Mon brave, vous me traiterez peut être de bouffon, ce que je suis, mais je pense que vous avancerez plus vite sans votre armure.
Et ce disant, il se lança dans une suite de pirouettes, accompagnées de rimes sans queue ni tête.
C'est alors que Tempestus sorti de l'eau un pilum planté profondément dans l'ognion... sans crier gare, duncan avait crevé le canard en plastique du triste sir lui perforant le fessard ma foi fort ensanglanté, mais la rougeur de son fessard ne dépassa pas la rougeur de son visage lorsqu'il vit tout ce beau monde empieter dans sa belle piscine privée, travaillée à ce qu'elle ressemble à se meprendre à un marais....
C'est à ce moment précis que Monpetitdragon, attiré par les bruits de clochettes du bouffon, saisit l'occasion de surgir de derrière les buissons de nénuphènes actives, plantes au pollen puissament allergène; il ne put s'empêcher d'éternuer une gigantesque flamme sur Jester, le transformant en torche vivante.
Jester se mit à gambader, prenant bien soin de ne pas enflammer les bois alentours, lorsqu'on lui demanda ce qu'il faisait, il répondit :
- Mais voyez vous, je me promène. - Et le fait que tu sois en train de bruler ne te gènes pas, demanda Gaius. - Non mon brave car voyez vous, je porte une combinaison ignifugée sous mes vêtements, les empereurs et autres rois, ont depuis longtemps décidé que déambuler en feu devant eux faisait parti intégrante de notre rôle, nous avons du nous y faire.
Sous ses paroles dites, Jester se remis a gambader avec moultes vrilles dans cette belle forêt ce qui amusa beaucoup Elminster si bien qu'il tenta de faire de même mais le problème fut qu'il n'a pas la même souplesse et donc finit par trébuché sur un objet lisse.
Elminster, Fou de rage et couvert de boue, retourna sur l'objet et vit une lampe et se dit: "ma foi si ce n'est pas une lampe de contrées lointaines" et voyant des inscriptions salies dessus, il se mis à frotter la dites lampe et apparu devant lui le sieur djinn s'égosillant d'un "QUI OSE ME REVEILLER EN CES LIEUX?". | |
| | | duncane (alyscia)
Nombre de messages : 873 Age : 42 Localisation : Province du Nord Ouest Date d'inscription : 09/05/2006
| Sujet: Re: un conte de démons Lun 22 Mai - 23:48 | |
| Il y'a bien longtemps se trouvait être une bande de joyeux lurons, quelques uns armées jusqu'aux dents, quelques autres capables de prouesses par la force, quelques autres poètes immérites, dont les créations se trouvaient même à la cour de l'empereur. Alors ce groupe d'ahuris décida de partir à l'aventure, et se mit en route en chantant "A l'aventure compagnons ...", malheureusement leurs petit chansonette énerva un orc passant par là, le combat fut rude, pour détérminer qui aller botter les fesses de ce trublion, bien entendu Duncane s'engagea aussitôt il lui botta les fesse à coup de bottes en fer qu'il avait fort commodément chaussées avant de partir. L'orc tout cabossé, prenant son courage à demain s'enfuit à tire d'aile, Duncane fut félicité par tout le groupe et celui ci déclara: "eh beng, ma fôa, je ne regrette pôa d'avoir acheté cette paire de bottes magiques avec les deniers du sieur Teclis", puis se retournant vers Tecliss, déclara : "Pas trop déçu d'avoir perdu cet argent dans notre pari ?" Et celui ci répondit : "Ne t'inquiète pas, regarde ta bourse". Et il la regarda et fut agréablement surpris de la découvrir pleine d'or. Il fut intrigué, il regarda de plus près, tata les pièces et constata que c'était de la toque. Il s'écria "ronondidju, espèce de #@#°°! qu'as-tu fait de mes pièces vile cochon" en sortant son canif, il lui répondit: "trop d'alcool te rend pauvre ?" et s'en alla pour éviter le coup de canif. Duncane qui avait sorti son canif pour éplucher une pomme se mit tranquilement à grignoter.Teclis magnanime lui rendit une partie de son or ( vrai celui là), que Duncane repris dignement et rangea dans sa bourse, non sans se servir discretement au passage dans la bourse de Teclis.Bien entendu Duncane remit son or dans sa bourse, persée, et alla finir de grinoter sa pomme avec des Clik clik derière son passage;une mite géante avait bouffé un carré de tissu de la bourse, bien entendu teclis ne put se résourdre à laisser ce bel or par terre et le rammassa, soudain un bruit immonde vint à leurs oreilles:
sieur Balrix avait laché un pet monstrueux, remplissant la forêt d'une odeur abominablement nauséabonde, un nuage verdatre flottait derrière lui, pauvres oiseaux, pensa le groupe, ils tombent comme des mouches. Sieur Duncane se retourna horrifié, la mite géante affectueusement accrochée à ses bourses et vrombissant de bonheur. Gaius l'entendant, la transpersa avec son glaive. Duncane se retourna et vis le glaive passer, vi sa bourse de cuir et s'étonna : "une bonne peau d'orc comme ça ..."
Gaius se resaisit, nettoya sa lame et, d'un air stoic déclara .. " ces bois sont remplis de sales bestiolles". Duncane, avisant teclis penché lui dit holà mon brave, besoin d'aide pour ramasser ces pièces ?" et teclis du tac au tac : "Sans façon, pourquoi il y a eu un problème avec votre bourse ?".
Duncane répondit : "Et bien il semblerait qu'elle se soit vidée par terre, près de là où vous vous trouvez". Teclis réfléchit quelques instants :"Hum,hum, dommage que je ne les ai pas vu, bon c'ets pas le tout mais si on reprenez notre chemin."
Elminster passant non loin, entendit l'échange de ces deux seigneurs, il décida prestement de cacher son or, bien en lieu sur, puis s'approcha des deux dirigeants en les saluant. Voyant cet étranger approcher en saluant, Duncane le salua également, simple question de politesse.
C'est précisément à cet instant qu'une nuée d'abeilles géantes toutes ailes et pattes déployées, vrombissant de bonheur, le confondant avec une fleur à butiner, saisirent l'occasion pour foncer sur Elminster, attirées par l'hydromel qu'il avait acheté à la taverne du 'Sanglier Flamboyant' et ses habits de gaulois aux couleurs éclatantes.
A la vue des abeilles géantes, Elminster s'enfuit dans la forêt remplie de plantes carnivores et criant comme un gorêt il plongea tête la première dans une marre de boue pour leur échapper.
Gaius, n'écouttant que son courrage plongea après Elminster, et assoma sans le faire exprès un innocent crocodile qui passait par là. Pendant ce temps, Duncane sorti son bouclier, l'attacha à la lance de son peplum, et s'en servit comme d'une gigantesque tapette à mouches, ou plutôt abeilles.
Balrix à la traine se rapprocha du groupe sirotant une délicieuse concoction d'herbes magiques aux effets secondaires spectaculaires (voir plus haut), recette secrète jalousement gardée par quelques druides accariâtres.
Il était accompagné de sieur Jester aux habits de bouffon, les petites clochettes tintillantes de joie et de bonne humeur.
Jester voyant le foutoir que Gaius était en train de mettre, lui dit :
- Mon brave, vous me traiterez peut être de bouffon, ce que je suis, mais je pense que vous avancerez plus vite sans votre armure.
Et ce disant, il se lança dans une suite de pirouettes, accompagnées de rimes sans queue ni tête.
C'est alors que Tempestus sorti de l'eau un pilum planté profondément dans l'ognion... sans crier gare, duncan avait crevé le canard en plastique du triste sir lui perforant le fessard ma foi fort ensanglanté, mais la rougeur de son fessard ne dépassa pas la rougeur de son visage lorsqu'il vit tout ce beau monde empieter dans sa belle piscine privée, travaillée à ce qu'elle ressemble à se meprendre à un marais....
C'est à ce moment précis que Monpetitdragon, attiré par les bruits de clochettes du bouffon, saisit l'occasion de surgir de derrière les buissons de nénuphènes actives, plantes au pollen puissament allergène; il ne put s'empêcher d'éternuer une gigantesque flamme sur Jester, le transformant en torche vivante.
Jester se mit à gambader, prenant bien soin de ne pas enflammer les bois alentours, lorsqu'on lui demanda ce qu'il faisait, il répondit :
- Mais voyez vous, je me promène. - Et le fait que tu sois en train de bruler ne te gènes pas, demanda Gaius. - Non mon brave car voyez vous, je porte une combinaison ignifugée sous mes vêtements, les empereurs et autres rois, ont depuis longtemps décidé que déambuler en feu devant eux faisait parti intégrante de notre rôle, nous avons du nous y faire.
Sous ses paroles dites, Jester se remis a gambader avec moultes vrilles dans cette belle forêt ce qui amusa beaucoup Elminster si bien qu'il tenta de faire de même mais le problème fut qu'il n'a pas la même souplesse et donc finit par trébuché sur un objet lisse.
Elminster, Fou de rage et couvert de boue, retourna sur l'objet et vit une lampe et se dit: "ma foi si ce n'est pas une lampe de contrées lointaines" et voyant des inscriptions salies dessus, il se mis à frotter la dites lampe et apparu devant lui le sieur djinn s'égosillant d'un "QUI OSE ME REVEILLER EN CES LIEUX?".
Duncane, entendant celà, se mit à hurler lui aussi :
- C'EST PAS BIENTOT FINIT CE SOUK !!! On ne s'entend même plus réflechir !!
Profitant de la confusion qui régnait en ces lieu, Monpetitdragon (ou grand lezard, comme on veut), vint donc renifler cet être étrange, et de soie vêtu, qui venait de sortir d'un vulgaire truc en métal. C'est ce moment, riche en potentiels que choisi Gaius lui aussi pour revenir, haletant, et disant :
- Je l'ai perdu, Elminster, je n'ai pas réussi à le rattraper dans les marais ...
Ledit Elminster, qui était bien tranquillement revenu avant l'incident de la combustion du bouffon. | |
| | | Gaius Scipion Chef de l'Alliance
Nombre de messages : 2774 Date d'inscription : 09/05/2006
| Sujet: Re: un conte de démons Mar 23 Mai - 10:31 | |
| Il y'a bien longtemps se trouvait être une bande de joyeux lurons, quelques uns armées jusqu'aux dents, quelques autres capables de prouesses par la force, quelques autres poètes immérites, dont les créations se trouvaient même à la cour de l'empereur. Alors ce groupe d'ahuris décida de partir à l'aventure, et se mit en route en chantant "A l'aventure compagnons ...", malheureusement leurs petit chansonette énerva un orc passant par là, le combat fut rude, pour détérminer qui aller botter les fesses de ce trublion, bien entendu Duncane s'engagea aussitôt il lui botta les fesse à coup de bottes en fer qu'il avait fort commodément chaussées avant de partir. L'orc tout cabossé, prenant son courage à demain s'enfuit à tire d'aile, Duncane fut félicité par tout le groupe et celui ci déclara: "eh beng, ma fôa, je ne regrette pôa d'avoir acheté cette paire de bottes magiques avec les deniers du sieur Teclis", puis se retournant vers Tecliss, déclara : "Pas trop déçu d'avoir perdu cet argent dans notre pari ?" Et celui ci répondit : "Ne t'inquiète pas, regarde ta bourse". Et il la regarda et fut agréablement surpris de la découvrir pleine d'or. Il fut intrigué, il regarda de plus près, tata les pièces et constata que c'était de la toque. Il s'écria "ronondidju, espèce de #@#°°! qu'as-tu fait de mes pièces vile cochon" en sortant son canif, il lui répondit: "trop d'alcool te rend pauvre ?" et s'en alla pour éviter le coup de canif. Duncane qui avait sorti son canif pour éplucher une pomme se mit tranquilement à grignoter.Teclis magnanime lui rendit une partie de son or ( vrai celui là), que Duncane repris dignement et rangea dans sa bourse, non sans se servir discretement au passage dans la bourse de Teclis.Bien entendu Duncane remit son or dans sa bourse, persée, et alla finir de grinoter sa pomme avec des Clik clik derière son passage;une mite géante avait bouffé un carré de tissu de la bourse, bien entendu teclis ne put se résourdre à laisser ce bel or par terre et le rammassa, soudain un bruit immonde vint à leurs oreilles:
sieur Balrix avait laché un pet monstrueux, remplissant la forêt d'une odeur abominablement nauséabonde, un nuage verdatre flottait derrière lui, pauvres oiseaux, pensa le groupe, ils tombent comme des mouches. Sieur Duncane se retourna horrifié, la mite géante affectueusement accrochée à ses bourses et vrombissant de bonheur. Gaius l'entendant, la transpersa avec son glaive. Duncane se retourna et vis le glaive passer, vi sa bourse de cuir et s'étonna : "une bonne peau d'orc comme ça ..."
Gaius se resaisit, nettoya sa lame et, d'un air stoic déclara .. " ces bois sont remplis de sales bestiolles". Duncane, avisant teclis penché lui dit holà mon brave, besoin d'aide pour ramasser ces pièces ?" et teclis du tac au tac : "Sans façon, pourquoi il y a eu un problème avec votre bourse ?".
Duncane répondit : "Et bien il semblerait qu'elle se soit vidée par terre, près de là où vous vous trouvez". Teclis réfléchit quelques instants :"Hum,hum, dommage que je ne les ai pas vu, bon c'ets pas le tout mais si on reprenez notre chemin."
Elminster passant non loin, entendit l'échange de ces deux seigneurs, il décida prestement de cacher son or, bien en lieu sur, puis s'approcha des deux dirigeants en les saluant. Voyant cet étranger approcher en saluant, Duncane le salua également, simple question de politesse.
C'est précisément à cet instant qu'une nuée d'abeilles géantes toutes ailes et pattes déployées, vrombissant de bonheur, le confondant avec une fleur à butiner, saisirent l'occasion pour foncer sur Elminster, attirées par l'hydromel qu'il avait acheté à la taverne du 'Sanglier Flamboyant' et ses habits de gaulois aux couleurs éclatantes.
A la vue des abeilles géantes, Elminster s'enfuit dans la forêt remplie de plantes carnivores et criant comme un gorêt il plongea tête la première dans une marre de boue pour leur échapper.
Gaius, n'écouttant que son courrage plongea après Elminster, et assoma sans le faire exprès un innocent crocodile qui passait par là. Pendant ce temps, Duncane sorti son bouclier, l'attacha à la lance de son peplum, et s'en servit comme d'une gigantesque tapette à mouches, ou plutôt abeilles.
Balrix à la traine se rapprocha du groupe sirotant une délicieuse concoction d'herbes magiques aux effets secondaires spectaculaires (voir plus haut), recette secrète jalousement gardée par quelques druides accariâtres.
Il était accompagné de sieur Jester aux habits de bouffon, les petites clochettes tintillantes de joie et de bonne humeur.
Jester voyant le foutoir que Gaius était en train de mettre, lui dit :
- Mon brave, vous me traiterez peut être de bouffon, ce que je suis, mais je pense que vous avancerez plus vite sans votre armure.
Et ce disant, il se lança dans une suite de pirouettes, accompagnées de rimes sans queue ni tête.
C'est alors que Tempestus sorti de l'eau un pilum planté profondément dans l'ognion... sans crier gare, duncan avait crevé le canard en plastique du triste sir lui perforant le fessard ma foi fort ensanglanté, mais la rougeur de son fessard ne dépassa pas la rougeur de son visage lorsqu'il vit tout ce beau monde empieter dans sa belle piscine privée, travaillée à ce qu'elle ressemble à se meprendre à un marais....
C'est à ce moment précis que Monpetitdragon, attiré par les bruits de clochettes du bouffon, saisit l'occasion de surgir de derrière les buissons de nénuphènes actives, plantes au pollen puissament allergène; il ne put s'empêcher d'éternuer une gigantesque flamme sur Jester, le transformant en torche vivante.
Jester se mit à gambader, prenant bien soin de ne pas enflammer les bois alentours, lorsqu'on lui demanda ce qu'il faisait, il répondit :
- Mais voyez vous, je me promène. - Et le fait que tu sois en train de bruler ne te gènes pas, demanda Gaius. - Non mon brave car voyez vous, je porte une combinaison ignifugée sous mes vêtements, les empereurs et autres rois, ont depuis longtemps décidé que déambuler en feu devant eux faisait parti intégrante de notre rôle, nous avons du nous y faire.
Sous ses paroles dites, Jester se remis a gambader avec moultes vrilles dans cette belle forêt ce qui amusa beaucoup Elminster si bien qu'il tenta de faire de même mais le problème fut qu'il n'a pas la même souplesse et donc finit par trébuché sur un objet lisse.
Elminster, Fou de rage et couvert de boue, retourna sur l'objet et vit une lampe et se dit: "ma foi si ce n'est pas une lampe de contrées lointaines" et voyant des inscriptions salies dessus, il se mis à frotter la dites lampe et apparu devant lui le sieur djinn s'égosillant d'un "QUI OSE ME REVEILLER EN CES LIEUX?".
Duncane, entendant celà, se mit à hurler lui aussi :
- C'EST PAS BIENTOT FINIT CE SOUK !!! On ne s'entend même plus réflechir !!
Profitant de la confusion qui régnait en ces lieu, Monpetitdragon (ou grand lezard, comme on veut), vint donc renifler cet être étrange, et de soie vêtu, qui venait de sortir d'un vulgaire truc en métal. C'est ce moment, riche en potentiels que choisi Gaius lui aussi pour revenir, haletant, et disant :
- Je l'ai perdu, Elminster, je n'ai pas réussi à le rattraper dans les marais ...
Ledit Elminster, qui était bien tranquillement revenu avant l'incident de la combustion du bouffon.
Alors que la troupe regroupée en un cercle, se chamaillant autour du canard en plastique crevé de Tempestus, elle fut tout à coup surprise de trouver Elminster à ses coté, portant une ééééénorme mite sous le bras..
"ronondidju" tout le monde fut choqué, mais Duncane, ayant l'expérience des ces bestiaux, fut le premier à réagir: "ou as tu trouvé ce monstre là"
"Elminster lui dit ..attend je vais te montrer" et pointa le djinn du doigt.."il exhausse nos voeux" .. Duncane, aux bourses perçées pensant profiter de l'occasion se jeta sur le djinn et souhaita "Je veux un milliard, donne moi un milliard"
"Ton souhait sera exhaussé maîiitre", le djinn était myope comme un taupe, ne sachant pas reconnaître le vrai frotteur de la lampe il décida de l'exhausser et un éclair vint frapper le sol à coté de Duncane... un billard flambant neuf y apparut..
Duncane tout étonné s'exclama " m'enfin j'ai pas demandé un billard, j'ai demandé un milliard", Elminster répliqua" ben quoi, et moi tu crois que j'ai demandé une grosse mite???" ... le djinn était non seulement un peu aveugle, mais aussi un peu dur de la feuille... | |
| | | duncane (alyscia)
Nombre de messages : 873 Age : 42 Localisation : Province du Nord Ouest Date d'inscription : 09/05/2006
| Sujet: Re: un conte de démons Mar 23 Mai - 14:28 | |
| Il y'a bien longtemps se trouvait être une bande de joyeux lurons, quelques uns armées jusqu'aux dents, quelques autres capables de prouesses par la force, quelques autres poètes immérites, dont les créations se trouvaient même à la cour de l'empereur. Alors ce groupe d'ahuris décida de partir à l'aventure, et se mit en route en chantant "A l'aventure compagnons ...", malheureusement leurs petit chansonette énerva un orc passant par là, le combat fut rude, pour détérminer qui aller botter les fesses de ce trublion, bien entendu Duncane s'engagea aussitôt il lui botta les fesse à coup de bottes en fer qu'il avait fort commodément chaussées avant de partir. L'orc tout cabossé, prenant son courage à demain s'enfuit à tire d'aile, Duncane fut félicité par tout le groupe et celui ci déclara: "eh beng, ma fôa, je ne regrette pôa d'avoir acheté cette paire de bottes magiques avec les deniers du sieur Teclis", puis se retournant vers Tecliss, déclara : "Pas trop déçu d'avoir perdu cet argent dans notre pari ?" Et celui ci répondit : "Ne t'inquiète pas, regarde ta bourse". Et il la regarda et fut agréablement surpris de la découvrir pleine d'or. Il fut intrigué, il regarda de plus près, tata les pièces et constata que c'était de la toque. Il s'écria "ronondidju, espèce de #@#°°! qu'as-tu fait de mes pièces vile cochon" en sortant son canif, il lui répondit: "trop d'alcool te rend pauvre ?" et s'en alla pour éviter le coup de canif. Duncane qui avait sorti son canif pour éplucher une pomme se mit tranquilement à grignoter.Teclis magnanime lui rendit une partie de son or ( vrai celui là), que Duncane repris dignement et rangea dans sa bourse, non sans se servir discretement au passage dans la bourse de Teclis.Bien entendu Duncane remit son or dans sa bourse, persée, et alla finir de grinoter sa pomme avec des Clik clik derière son passage;une mite géante avait bouffé un carré de tissu de la bourse, bien entendu teclis ne put se résourdre à laisser ce bel or par terre et le rammassa, soudain un bruit immonde vint à leurs oreilles:
sieur Balrix avait laché un pet monstrueux, remplissant la forêt d'une odeur abominablement nauséabonde, un nuage verdatre flottait derrière lui, pauvres oiseaux, pensa le groupe, ils tombent comme des mouches. Sieur Duncane se retourna horrifié, la mite géante affectueusement accrochée à ses bourses et vrombissant de bonheur. Gaius l'entendant, la transpersa avec son glaive. Duncane se retourna et vis le glaive passer, vi sa bourse de cuir et s'étonna : "une bonne peau d'orc comme ça ..."
Gaius se resaisit, nettoya sa lame et, d'un air stoic déclara .. " ces bois sont remplis de sales bestiolles". Duncane, avisant teclis penché lui dit holà mon brave, besoin d'aide pour ramasser ces pièces ?" et teclis du tac au tac : "Sans façon, pourquoi il y a eu un problème avec votre bourse ?".
Duncane répondit : "Et bien il semblerait qu'elle se soit vidée par terre, près de là où vous vous trouvez". Teclis réfléchit quelques instants :"Hum,hum, dommage que je ne les ai pas vu, bon c'ets pas le tout mais si on reprenez notre chemin."
Elminster passant non loin, entendit l'échange de ces deux seigneurs, il décida prestement de cacher son or, bien en lieu sur, puis s'approcha des deux dirigeants en les saluant. Voyant cet étranger approcher en saluant, Duncane le salua également, simple question de politesse.
C'est précisément à cet instant qu'une nuée d'abeilles géantes toutes ailes et pattes déployées, vrombissant de bonheur, le confondant avec une fleur à butiner, saisirent l'occasion pour foncer sur Elminster, attirées par l'hydromel qu'il avait acheté à la taverne du 'Sanglier Flamboyant' et ses habits de gaulois aux couleurs éclatantes.
A la vue des abeilles géantes, Elminster s'enfuit dans la forêt remplie de plantes carnivores et criant comme un gorêt il plongea tête la première dans une marre de boue pour leur échapper.
Gaius, n'écouttant que son courrage plongea après Elminster, et assoma sans le faire exprès un innocent crocodile qui passait par là. Pendant ce temps, Duncane sorti son bouclier, l'attacha à la lance de son peplum, et s'en servit comme d'une gigantesque tapette à mouches, ou plutôt abeilles.
Balrix à la traine se rapprocha du groupe sirotant une délicieuse concoction d'herbes magiques aux effets secondaires spectaculaires (voir plus haut), recette secrète jalousement gardée par quelques druides accariâtres.
Il était accompagné de sieur Jester aux habits de bouffon, les petites clochettes tintillantes de joie et de bonne humeur.
Jester voyant le foutoir que Gaius était en train de mettre, lui dit :
- Mon brave, vous me traiterez peut être de bouffon, ce que je suis, mais je pense que vous avancerez plus vite sans votre armure.
Et ce disant, il se lança dans une suite de pirouettes, accompagnées de rimes sans queue ni tête.
C'est alors que Tempestus sorti de l'eau un pilum planté profondément dans l'ognion... sans crier gare, duncan avait crevé le canard en plastique du triste sir lui perforant le fessard ma foi fort ensanglanté, mais la rougeur de son fessard ne dépassa pas la rougeur de son visage lorsqu'il vit tout ce beau monde empieter dans sa belle piscine privée, travaillée à ce qu'elle ressemble à se meprendre à un marais....
C'est à ce moment précis que Monpetitdragon, attiré par les bruits de clochettes du bouffon, saisit l'occasion de surgir de derrière les buissons de nénuphènes actives, plantes au pollen puissament allergène; il ne put s'empêcher d'éternuer une gigantesque flamme sur Jester, le transformant en torche vivante.
Jester se mit à gambader, prenant bien soin de ne pas enflammer les bois alentours, lorsqu'on lui demanda ce qu'il faisait, il répondit :
- Mais voyez vous, je me promène. - Et le fait que tu sois en train de bruler ne te gènes pas, demanda Gaius. - Non mon brave car voyez vous, je porte une combinaison ignifugée sous mes vêtements, les empereurs et autres rois, ont depuis longtemps décidé que déambuler en feu devant eux faisait parti intégrante de notre rôle, nous avons du nous y faire.
Sous ses paroles dites, Jester se remis a gambader avec moultes vrilles dans cette belle forêt ce qui amusa beaucoup Elminster si bien qu'il tenta de faire de même mais le problème fut qu'il n'a pas la même souplesse et donc finit par trébuché sur un objet lisse.
Elminster, Fou de rage et couvert de boue, retourna sur l'objet et vit une lampe et se dit: "ma foi si ce n'est pas une lampe de contrées lointaines" et voyant des inscriptions salies dessus, il se mis à frotter la dites lampe et apparu devant lui le sieur djinn s'égosillant d'un "QUI OSE ME REVEILLER EN CES LIEUX?".
Duncane, entendant celà, se mit à hurler lui aussi :
- C'EST PAS BIENTOT FINIT CE SOUK !!! On ne s'entend même plus réflechir !!
Profitant de la confusion qui régnait en ces lieu, Monpetitdragon (ou grand lezard, comme on veut), vint donc renifler cet être étrange, et de soie vêtu, qui venait de sortir d'un vulgaire truc en métal. C'est ce moment, riche en potentiels que choisi Gaius lui aussi pour revenir, haletant, et disant :
- Je l'ai perdu, Elminster, je n'ai pas réussi à le rattraper dans les marais ...
Ledit Elminster, qui était bien tranquillement revenu avant l'incident de la combustion du bouffon.
Alors que la troupe regroupée en un cercle, se chamaillant autour du canard en plastique crevé de Tempestus, elle fut tout à coup surprise de trouver Elminster à ses coté, portant une ééééénorme mite sous le bras..
"ronondidju" tout le monde fut choqué, mais Duncane, ayant l'expérience des ces bestiaux, fut le premier à réagir: "ou as tu trouvé ce monstre là"
"Elminster lui dit ..attend je vais te montrer" et pointa le djinn du doigt.."il exhausse nos voeux" .. Duncane, aux bourses perçées pensant profiter de l'occasion se jeta sur le djinn et souhaita "Je veux un milliard, donne moi un milliard"
"Ton souhait sera exhaussé maîiitre", le djinn était myope comme une taupe, ne sachant pas reconnaître le vrai frotteur de la lampe il décida de l'exhausser et un éclair vint frapper le sol à coté de Duncane... un billard flambant neuf y apparut..
Duncane tout étonné s'exclama " m'enfin j'ai pas demandé un billard, j'ai demandé un milliard", Elminster répliqua" ben quoi, et moi tu crois que j'ai demandé une grosse mite???" ... le djinn était non seulement un peu aveugle, mais aussi un peu dur de la feuille...
Et Duncane de répondre :
- Bien tachons donc d'en tirer partie, si on faisait une partie de billard, qui sait jouer au 8 ball pool ? | |
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